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      Le
      sanatorium de Sainte-Feyre fait partie de l'histoire, l'histoire sociale. 
      Dans l'histoire, l'histoire sociale, celle des mouvements ouvriers, plus
      spectaculaire dans ses manifestations, est plus connue que le versant des
      mouvements sociaux chargés de la protection de ces ouvriers. 
      La création du sanatorium de Ste-Feyre fait partie du 2ème
      volet.
       
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          | La tuberculose
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      Fin du XIXe
      siècle: la tuberculose (auparavant
      appelée phtysie), que l'on considère comme le plus grand
      ennemi auquel l'humanité doit faire face, fait des ravages dans la
      population et parmi elle, instituteurs et institutrices paient un lourd
      tribut et il n'y a pas encore d'institutions particulières pour prendre
      en charge ces malades (entre 1700 et 1900, près d'un milliard de
      personnes en moururent) et face aux pouvoirs publics impuissants, la lutte
      antituberculeuse est laissée à  des initiatives 
      individuelles  ou à des associations charitables. 
       
      En 1860, Jean-Antoine Villemin par ses travaux  démontre la nature
      contagieuse de la maladie. 
      En 1882, Robert Koch découvre le bacille responsable de la ,maladie. 
       
      Après des recherches,
      influencées par la vaccination antivariolique, commencées en 1900, le
      vaccin bilié de Calmette et Guérin (BCG), après une interruption due à
      la guerre, est mis au point à l'Institut Pasteur, en 1924. 
      La streptomycine (découverte par Selman Waksman vers 1946) fut le premier
      antibiotique actif contre le bacille de Koch 
      ce vaccin deviendra obligatoire en France en 1950. 
      Depuis 1964, cette maladie est sur la liste des Maladies infectieuses à déclaration
      obligatoire. 
      Le vaccin contre la tuberculose n'est plus obligatoire depuis 2006. 
        
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 C'est à un botaniste
      allemand, le Docteur Hermann BREHMER, que l'on doit
      "l'invention" des sanatoriums et l'ouverture du premier
      établissement de ce type, en Allemagne. Un sanatorium est créé en
      Silésie en 1854 où, ce qui sera la base du traitement de la tuberculose
      pendant un siècle, est institué: le triptyque de la cure de repos, d'air
      et de suralimentation. La France  
      En mai 1899 un congrès qui se tient à Berlin confirme les bons résultats
      cliniques des sanatoria allemands. 
      En 1902, alors que l'Allemagne dispose de 70 sanatoria, la France qui demeure
      sceptique à ce système de soin n'en a que 6.
      Les instituteurs se
      considèrent particulièrement exposés à la tuberculose à cause de
      leurs conditions de vie guère florissantes et leurs contacts journaliers
      avec des enfants d'origine souvent modeste.  
      Il s'agit d'une peur relativement infondée car une étude de 1916 prouve
      que les enseignants sont plutôt moins touchés que certains ouvriers. 
      En plus, les enseignants sont sensibilisés à cette maladie puisqu'ils
      sont mis à contribution pour instruire la population sur les dangers de
      cette maladie. 
      Les instituteurs sont
      considérés comme "trop riches" pour bénéficier d'une place
      dans un établissemnt populaire et pourtant ne peuvent s'offrir un séjour
      en sanatorium de luxe. 
       
          
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          | Alfred Leune. 
          
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    Fils
      d'universitaire,  Alfred Leune est né à Rouen le 2 septembre 1857 dune
      famille normande. 
        
      L'histoire du sanatorium de Sainte-Feyre est étroitement lié à sa vie
      au point que sa femme dira quelques jours avant la fin de son mari:  
                  - 
      "nous avons eu quatre enfants, le dernier étant le Sanatorium de
      Sainte-Feyre; il ne nous est pas le moins cher." 
      Il
      avait épousé le 14 novembre 1888 à Saint-Quentin (02) Céline Blanche
      "Léonie" DAIX (1871 - 1942). 
      Il eurent trois
      enfants. 
              -
      Jean Victor Charles Edmond, journaliste (1889 - 1944), mort entre
      Compiègne et Buchenwald dans le bombardement du train de prisonniers
      qui           l'y emmenait, 
             
      - Pierre
      Louis (12/8/1894 à Quimper - 1/10/1914 à l'hôpital à Paris suite à
      ses blessures de Guerre), Mort pour la France, 
      - Germaine
      Charlotte Madeleine (1896 - 1981) 
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    "Le
      18 septembre dernier, M Leune visitait le Sanatorium de Sainte-Feyre.
      Sentant ses forces lentement décroître, il avait voulu, dans un suptême
      élan d'énergie, faire ce voyage et revoir une dernière fois la Maison
      qu'il avait fondée, trente plus tôt, pour le salut des Instituteurs et
      des Institutrices victimes de la tuberculose. Au bras de sa chère
      compagne, il parcourut tous les services, reçut avec sa bonté
      coutumière les voeux du personnel et des pensionnaires; ouis ayant
      longuement promené ses regards des jardins et des pavillons jusqu'aux
      cimes de la forêt de Chabtière que dorait déjà l'automne, il reprit le
      chemin de Paris. 
      Trois mois après, il n'était plus. 
      De cette visite, tous ceux qui furent les mélancoliques témoins avaient
      le pressentiment que le Président-fondateur de l'Union Nationale ne
      reviendrait plus parmi eux. C'était, au soir de sa vie, le poignant adieu
      de l'homme à son oeuvre. Mais il pouvait la considérer, cette oeuvre,
      avec la haute satisfaction de celui qui a réalisé dans la bienfaisance
      le plus noble des projets, avec la sérénité du sage qui, ayant apaisé
      et diminué la souffrance autour de lui, peut se dire que son exemple ne
      périra pas." 
                  
      A Léaud, président de l'Union Nationale, dans son hommage lors des
      obsèques d'A Leune. | 
   
  
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    Né
      à Rouen, il suit une scolarité parisienne au Lycée de Versailles puis
      au Lycée Rollin où son père était professeur.  
      Il y prépare le concours d'entrée à l'École Normale Supérieure où il
      est admis en 1878 dans une promotion qui compte entre autre Jean Jaurès. 
      Il se tourne vers l'agrégation de grammaire après avoir
      "gouttée" à la philosophie.
       
      Il débute son
      enseignement au collège de Vitry-le-François, puis à Alençon,
      Châteauroux, Saint-Quentin où il rencontre et épouse en 1888 Mlle Daix. 
      Trois ans plus tard, en 1891, il est débute comme Inspecteur d'Académie à Gap,
      puis dans le Finistère (1893), le Pas-de-Calais (1895) et la Seine
      et Oise en 1904.
       
      
      Il exerce les fonctions de sous-directeur de l'Enseignement primaire de la
      Seine en 1910 puis d'Inspecteur Général en 1913. 
      Il prend sa retraite le 1er octobre 1924. 
      Le Ministère de la Guerre le charge d'inspecter ses écoles militaires
      préparatoires dont il transforme l'organisation et perfectionne les
      méthodes. 
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    Effrayé
      par les ravages terribles que causait la tuberculose parmi le personnel
      enseignant, il a lutté de toutes ses forces contre ce fléau. 
       
      Le 3 mai 1901, la Société de Secours Mutuels des Instituteurs du
      Pas-de-Calais, à l'initiative de son président, Alfred Leune,
      alors Inspecteur d'Académie, lance un appel aux autres Sociétés
      Mutuelles d'Instituteurs pour s'unir contre la lutte anti-tuberculeuse. 72
      sociétés sur 81 répondent favorablement et le 21 septembre 1901, un
      congrés des sociétés, auquel participèrent aussi les Amicales
      d'Instituteurs votait la création de l'Union nationale
      des sociétés de secours mutuels d'instituteurs et d'institutrices de
      France et des colonies. La présidence revient à Alfred Leune.
      C'est cette Union et
      Alfred Leune qui entreprirent les premières démarches pour la création
      d'un sanatorium pour les instituteurs.  
      Le 17 avril 1930, l'Union
      des sana décide de baptiser le sanatorium de Sainte-Feyre de son nom. 
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    Il
      décède à
      son domicile, 16 rue des Fossés-Saint-Jacques à Paris ( 5ème ) le 9 décembre
      1930 . 
      Ces obsèques civiles ont lieu le 11 décembre 1930 par un temps glacial
      en présence, entre autres, de monsieur Rosset (directeur de
      l'Enseignement Primaire), monsieur Capra (représentant M le Ministre de
      l'Instruction publique), monsieur le général Matter (représentant le
      Ministre de la Guerre) etc... 
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          | Les
      Sociétés de Secours Mutuel. |  
       
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      | 
    Du
      début du XIXe siècle à 1945, le terme « sociétés de secours
      mutuels » désigne les associations de prévoyance qui, en l’échange
      d’une modeste cotisation, assurent à leurs membres des prestations en
      cas de maladie (indemnités journalières, remboursements médicaux et
      pharmaceutiques). Elles prennent aussi en charge leurs obsèques et leur
      versent une pension de retraite si leurs réserves financières le
      permettent. Apparues dans le contexte de l’interdit associatif posé par
      la loi Le Chapelier (1791), ces organisations se sont d’abord constituées
      sans cadre réglementaire, jusqu’à leur reconnaissance officielle par
      un décret de Charles Louis Napoléon Bonaparte en 1852. Elles prennent
      alors leur essor sous le second Empire, qui leur apporte un soutien
      administratif et financier tout en contrôlant leurs activités afin d’éviter
      tout risque de coalition séditieuse. 
      La législation républicaine de 1898, plus libérale, étend l’éventail
      des « secours mutuels », notamment en faveur de la maternité
      et des enfants (mutualités scolaires et maternelles). En outre, dans les
      sociétés rurales, la liste des secours comprend souvent une aide
      mutuelle aux travaux agricoles. Gérées sur un mode démocratique, ces
      sociétés exaltent la responsabilisation individuelle des adhérents* et
      le bénéfice des prestations y est indissociablement lié à la notion de
      réciprocité. Au XXe siècle, les sociétés de secours mutuel doivent
      s’adapter à l’implication croissante de l’Etat dans le domaine de
      la protection sociale. Reléguées dans un rôle complémentaire à celui
      de la Sécurité sociale en 1945, elles prennent alors l’appellation de
      sociétés mutualistes.
      Patricia Toucas-Truyen,
      historienne 
      Alternatives Economiques Poche n° 022 - janvier 2006. 
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          | La
      M.G.E.N.  |  
       
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    |   | 
    Aux
      origines, à partir du milieu du XIXe siècle, les enseignants,
      et en premier lieu les instituteurs, ont tissé un vaste réseau de
      sociétés de secours mutuels, afin de faire face aux aléas de
      l'existence. 
      Les premières sociétés de secours mutuels d'instituteurs, créées essentiellement
      à partir du Second Empire, sont pour la plupart des sociétés
      locales, de rayonnement départemental. Entre 1886 et 1944, près de
      110 groupements de ce genre se développent en France. 
      Aux sociétés de secours mutuels départementales s'ajoutent, au tournant
      du XXe siècle, des groupements d'envergure nationale, spécialisés
      dans la prise en charge d'un risque : c'est le cas de l'Union nationale
      des sociétés de secours mutuels d'instituteurs et d'institutrices de
      France et des colonies (surnommée Union des sanas), fondée en 1901 pour
      construire et gérer des sanatoria réservés aux enseignants. Citons également
      l'Orphelinat de l'enseignement primaire (1885) et le Soutien mutuel, fondé
      en 1921 pour intervenir en cas de longue maladie.
                              
         le
      premier Conseil d'Administration de l'Union Nationale en 1902. 
       
      Dans les années 1930, les instituteurs mutualistes tentent de regrouper
      ces sociétés dispersées : le 13 avril 1933, est créée la Fédération des
      oeuvres mutualistes de l'Enseignement public (FOME), rebaptisée Fédération
      nationale de la Mutualité Française (FNMF) en 1938.  
 Dans certaines régions sont
      également esquissés des regroupements, notamment dans les Bouches-du-Rhône
      en 1936, dans l'Eure ou au Maroc où apparaît en 1938 l'Union marocaine
      des oeuvres de mutualité des fonctionnaires de l'Enseignement public et
      laïque. 
      En 1937, la coopération entre la FOME, l'association des malades en
      congé de longue durée de Sainte-Feyre (ACLD) et le syndicat national
      des instituteurs (SNI) aboutit à la création de la caisse normalienne,
      chargée d'organiser la lutte antituberculeuse dans les écoles normales. 
      Interrompue par la guerre et l'Occupation, la réflexion sur l'unification
      du mouvement mutualiste enseignant reprend à la Libération, à
      l'initiative de mutualistes et de syndicalistes enseignants, parallèlement
      à la mise en oeuvre de la Sécurité sociale.
       
      Réunis en
      assemblée générale, le 8 décembre 1946, les responsables du Syndicat
      national des instituteurs (SNI), de la Fédération de l'Éducation
      nationale (FEN), et des unions et sociétés de secours mutuel décident
      la création de la Mutuelle générale de l'Education nationale (MGEN) et
      appellent l'ensemble des sociétés de secours mutuels à fusionner
      en son sein. 
      En 1944, lors du congrès du SNI
      de Montrouge, Jules-Marie Coq émet l'idée de créer une caisse de prévoyance
      pour le personnel de l'Education nationale. A la suite d'un travail de
      documentation entrepris par Henri Aigueperse, une commission d'étude est
      confiée à Marcel Rivière. Lors du congrès du SNI
      de Grenoble (juillet 1946), ce dernier présente un programme
      d'unification de la Mutualité enseignante par la fusion des sociétés de
      secours mutuels. Y sont retenus plusieurs grands principes, tels le
      prélèvement des cotisations sur le traitement brut, l'extension des
      garanties aux membres de la famille et l'attribution de prestations au
      moins égales à celles de la Sécurité sociale. 
      Ce rapport, adopté à l'unanimité par le congrès, est ratifié le 8 décembre
      1946 par 117 délégués réunis lors de l'assemblée générale
      constitutive de la MGEN,
      dans les locaux du Musée social, rue Las Cases à Paris. Quelques jours
      plus tard, le 15 décembre, le Conseil d'administration provisoire de la MGEN
      procède à l'élection du Bureau national dont la présidence est confiée
      à Marcel Rivière. Enfin, le 31 décembre, les mutuelles de
      fonctionnaires se voient reconnaître le droit de gérer la Sécurité
      sociale pour leurs membres. 
      http://www.mgen.fr 
      Le Centre Médical
      National Alfred Leune est le plus ancien établissement de la M.G.E.N..
      C'est un des cadeaux que l'Union des Sociétés de Secours Mutuels apporta
      en dot aux autres Sociétés Mutualiste qui en 1946 s'unirent pour fonder
      la M.G.E.N. Il s'appelait à l'époque Le Sanatorium Alfred Leune. 
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          | Le
      Sanatorium de Sainte-Feyre |  
       
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      | 
      Début du XXe
      siècle: l'inspecteur d'Académie du Pas de Calais, Alfred LEUNE
      (1857 - 1930), frappé
      par les ravages causés par la maladie chez les enseignants du premier
      degré, a l'idée en 1901 de créer un sanatorium pour ces instituteurs.  
      Les Docteurs Brouardel, ains
      que les professeurs Letulle et Calmette veulent bien guider les recherches
      nécessaires.  
      
      Après de laborieuses recherches, le
      site de Sainte-Feyre, au pied du Gaudy, trouvé, proposé et négocié par
      l'instituteur local de l'époque, est choisi.   
      Ce choix est motivé pour sa position centrale
      dans l'hexagone à la jonction de deux diagonales, permettant un
      accès identique à tous les instituteurs de France. 
                                 
      en raison de la proximité de la gare de Guéret, où, à
      l'époque convergent cinq lignes de chemin de fer, 
                                   
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      pour la qualité de
      son atmosphère (le sol granitique rend la poussière presque
      impossible),   
                                 
      dans une campagne calme reposante et de moyenne altitude (490m).  
      Son exposition, sur le
      versant sud du Puy de Gaudy protégera le sanatorium des Vents du Nord et
      sa façade sud (côté chambres) s'étalera en plein midi avec +26° et
      -6° de températures extrêmes.  
      En bordure de la forêt domaniale de Chabrières (1 000 ha), il profitera
      de l'air vivifiant des bois et d'un environnement tout à fait propre au
      repos qu'exige le rétablissement des malades. 
      L'eau est abondante sur le domaine. (une eau comme les Parisiens n'en
      ont jamais eu.) 
                                                             
        
      
      Les parcelles achetées forment un ensemble de 17 hectares et sont évalués
      52 000 francs.    
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     C'est en
       juillet 1902 qu'est décidé la construction du sanatorium de
      Ste-Feyre (ce sera le huitième en France). 
      Il faut financer le
      projet. 
      Pour trouver les fonds, est créée la Commission exécutive de
      l'Oeuvre du Sanatorium pour Tuberculeux. Il n'y a pas d'espoir
      d'une seule aide de l'état, d'une subvention quelconque, il faudra donc
      récolter les fonds auprès des instituteurs eux-mêmes, soit par des
      subventions de leurs sociétés départementales, soit par des loteries,
      soit par des souscriptions au cours des Conférences Pédagogiques
      ou de listes adressées dans les Écoles Normales. 
      En 1903, la
      Commission dispose d'un avoir général de 1 110 479 francs avec lesquels
      il faut payer le terrain, construire une route d'accès de 1 800 m,
      édifier le sanatorium avec une centrale électrique thermique destinée
      à alimenter la maison. Peu de villes disposent en effet, à cette
      époque, de l'électricité qui est totalement inconnue dans les
      campagnes. (La station électrique de Guéret a été construite en 1894) 
      Mai 1903, session
      annuelle des délibération du conseil municipal de Sainte-Feyre: 
       
      
        
            | 
          Sous
            l'annotation en marge "autorisation donnée aux sections de
            Voust, la Prade, les Bains et Laspeyras de vendre un comal
            pour la construction d'un Sanatorium. 
                  Monsieur le Président donne
            connaissance d'une déclaration revêtue des signatures de la
            presque unanimité des sectionnaires intéressés des villages de
            Voust, la Prade, Laspeyras et les Bains portant demande et
            engagement de vendre à la commission du Sanatorium, présidée par
            M Leune, moyennant le prix de sept mille francs, le communal leur
            appartenant indivisément et appelés "du Bois du Pendu"
            d'une contenance de 8 hectares 42 ares 69 centiares, porté au plan
            cadastral de la commune sous le n° 1468, section C et il invite
            l'assemblée à émettre son avis sur l'opportunité de cette
            demande. 
                  Le Conseil Municipal, après lecture
            de l'engagement précité décide en principe qu'il y a lieu
            d'autoriser la vente demandée, après l'information d'usage en
            pareille matière."
            Accord donné
            après enquête à la session extraordinaire du 21 juin 1903.  | 
         
       
                                             
                
         
      Alfred Leune. 
                                                                                                                                                                                           
      (Buste au Centre Médical de Ste Feyre) 
                                
      L'exécution de ce buste par M Buzette, grand prix de Rome, fut décidé
      à la séance du conseil d'administration de "l'Union Nationale des
      Sociétés de Secours Mutuels d'Instituteurs et d'Institutrices" du
      30 décembre 1930. 
        
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       En 1904,
      l'architecte parisien Louis Marnez est désigné pour dresser les plans et
      établir un devis. 
      Alfred Leune se révèle un précurseur en exigeant des chambres
      individuelles au grand désespoir de son trésorier. 
      La première pierre
      est posé  le 15 septembre 1904. 
                                                     
                                               
        
                                                                                                                 
              (44Fi
      2 Archives départementales de la
      Creuse, Guéret,) 
      Le granit est trouvé sur
      place.                                
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    En
      raison de la forte déclivité du sol,  
                    
      du côté sud, il domine de ses quatre étages la vallée  
          le chemin par lequel on y accède, du côté nord est
      au niveau du 2ème étage.
      Le bâtiment mesure 190 m
      de long. 
      Les 102 chambres des
      malades s'ouvrent toutes au sud et sont réparties sur 3 étages. Elles
      sont prolongées à l'est et à l'ouest par des galeries de cure où
      chaque malade trouvera un lit de repos.  | 
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    Les
      3 premières femmes arrivent le 20 août 1906, le 1er homme
      arrivera le 23 car l'établissement est mixte.
       Le  10 septembre 1906 voit
      la première déclaration de décès dans l'établissement. Il s'agit de
      celui de 
                                            
      CHAPOUX François, 56
      ans, né à St HILAIRE THAURIEN(Corrèze) 
                                            
      Fils de Baptiste CHAPOUX (†) et de Anne DOUMECHE (†). 
                                            
      époux de Madeleine DAUMAS. 
                                            
      témoins est André BOUCHER (35 ans instituteur) et Félix BUNY (28 ans
      instituteur).
       
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           Le
      dimanche 7
      octobre 1906 a lieu,
      l'inauguration de l'établissement, crée par l'architecte MARNEZ et
      propriété de l'Union Nationale des Sociétés de Secours Mutuel et des
      Associations Amicales d'Instituteurs et d'Institutrices. 
      Cette cérémonie est, à l'invitation d'Alfred LEUNE, président du comité mis en
      place pour sa construction, en présence du ministre des Affaires
      Étrangères et Président de l'Alliance Internationale contre la
      tuberculose,
      Léon BOURGEOIS et de nombreuses personnalités au rang desquelles se
      trouvent messieurs Rançon, président du Conseil Général de la Seine,
      Chautard, président du Conseil Municipal de Paris, Buisson, président de
      la Ligue de l'Enseignement, Bassinet, sénateur de la Seine qui s'est
      investi personnellement dans la réalisation du projet, Gasquet, directeur
      de l'Enseignement Primaire, de nombreux inspecteurs de l'Éducation
      Nationale, le gratin du monde politique creusois, le préfet
      Petit-Dossaris... M.
      Léon Bourgeois met un terme à la série de discours et clôt le sien par
      un hommage appuyé à M. Alfred Leune:  | 
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    "Vous
      êtes non seulement le chef, mais le père de cette grande famille
      enseignante. Et plus tard, en voyant votre nom écrit sur cet
      établissement, nous vous remercierons de la grande oeuvre que vous avez
      accomplie. Au nom de tous les instituteurs de France, je vous adresse tous
      nos remerciements, ainsi qu'à messieurs Bassinet et Marney, auxquels
      j'aurais bien voulu apporter ici même un témoignage du gouvernement,
      mais, j'espère qu'avant peu ce sera fait. Ma pensée va au maître
      d'école français qu'est vraiment monsieur Leune, dont la persévérance
      a permis de mener à bien cette oeuvre pour le plus grand bien des
      instituteurs et des institutrices de la République. Je bois à l'exemple
      pratique donné à l'instituteur dans l'œuvre de solidarité sociale et
      d'humanité que nous inaugurons aujourd'hui."   
                                                                                     
      *extrait de "le Tambour de la Creuse" d'André
      Mavigner aux éditions "Lucien Souny". | 
      | 
   
 
  
    |   | 
    La direction
      est confiée à un
      médecin-directeur, le  Docteur Claude BERTHELON (° 25 mars 1877 à
      Lozanne - Rhône) Il occupera ce poste jusqu'en 1940. | 
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       | 
          | 
    Le Dct Claude
      Berthelon | 
      | 
    son
      "CV" | 
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                                              | 
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      (ces photographies et ce CV sont la propriété de la famille du docteur
      Berthelon) 
        
      
        
           Etudes
            médicales à la faculté de médecine de Lyon, avec soutenance de
            thèse en 1904, 
             licencié es-sciences, 
             médecin assistant du sanatorium de Bligny à
            Briis-sous-Forges (91) de 1904 à 1906, 
             médecin directeur des sanatoria des instituteurs de
            Sainte-Feyre et de Saint-Jean d'Aulps de 1931 à 1940, 
             croix de guerre 1914/1918, 
             en 1921, le docteur Berthelon recevra la Croix de la Légion
            d'honneur pour son rôle de médecin pendant la Guerre. 
             en 1926, une piqure accidentelle lui fait perdre l'usage d'un
            doigt. 
             médecin chef des dispensaires de la Creuse de 1928 à 1938. 
             en 1937, les administrateurs de l'Union des sana lui remette
            le titre d'officier de la Légion d'honneur, 
             après son départ du poste de directeur de Sainte-Feyre, il
            exerce de 1940 à 1945 au sanatorium de Bayère à Charnay dans le Rhône, 
             il décède à Nice en 1955 et sera inhumé à Lozanne. | 
         
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    En ce début
      d'existence le directeur est assisté de 6 employés dont: Armand DEVOIZE (°
      ca 1857) (économe qui exercera jusqu'à la fin de la guerre en
      1919),  
                                                                                                
       
      François GRAVILLON, (cocher),  
                                                                                                
       
      Jean BAIN (infirmier)
      Le jour de l'inauguration
      sont hospitalisés 12 personnes ( huit femmes et quatre hommes)  | 
      | 
   
 
  
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    L'établissement
      comprend la partie centrale actuelle (au rez-de-chaussée, une vaste
      salle de réunion; au premier étage, une bibliothèque; au second, une
      salle à manger) 
                                                                           
      (tout le mobilier, lits en fer, meubles en pitchpin, sièges en bois
      courbé, clair gai présente toutes les garanties possibles au  
                                                                            
      point de vue de l'hygiène) 
                                                                            
      (les murs et les plafonds, peints en ripolin clair, reflètent et
      multiplient les rayons lumineux) 
                                              
      la centrale électrique (elle alimente sept cents lampes à
      incandescence et une dizaine de lampes à arc.) 
                                            
      le Pavillon
      du directeur  
                                                   
      et la Conciergerie.
      Au niveau médical l'établissement
      est pourvu d'une pharmacie, d'un laboratoire muni des appareils les plus
      modernes, d'une salle de radiographie, de
      salles de désinfection, de salles de bains, de douches etc.
       
        
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    Il y a également une
      ferme avec 2 bœufs pour labourer, 4 vaches pour fournir du lait aux
      malades, une
      porcherie et un poulailler. 
      Une partie de la propriété a été conservée en prairie, une partie
      cultivée en potager et une troisième boisée en essences résineuses. | 
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       L'établissement ne se garnit que lentement. Fin 1907,
      il n'est occupé qu'à 1/3 de sa capacité. 
      Les causes en sont variées: 
                        
      la peur de l'hôpital,  
                        
      pas de compensation à la suite de la perte du salaire des fonctionnaires,
      (la loi de 1853 accorde un congé maladie de  
                                      
      3 mois à plein traitement et de 3 mois et demi à demi traitement. A
      l'époque le traitement amenant à la 
                                      
      guérison  est très long: plusieurs mois sinon plusieurs années.) 
                          | 
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    Jusqu'en
      1940, l'équipe médicale se compose de deux médecins - le directeur et
      un assistant - d'une infirmière et d'une surveillante générale. A
      partir de 1940, le sana compte 3 médecins assistants et plusieurs
      internes.
       Le reste du personnel est
      non qualifié. En 1906 il est qualifié de "domestique".
      L'établissement ressemble plus à un centre de cure qu'à un véritable
      hôpital. L'instabilité de la main d'œuvre pose de gros problèmes. Ils
      sont 17 en 1907, 42 en 1926. Les "accords de Matignon" en juin
      1936 entraîne une hausse des effectifs (+ 11 personnes).  | 
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    Vers 1910,
      les effectifs atteignent 80 pensionnaires.
      
        En 1911,
      100 chambres sont occupées. 
      Les séjours y sont courts: les malades étant obligés de subvenir par
      leurs propres moyens aux frais de leur cure ( 4,50 F par jours) 
      La thérapeutique y est simple et sommaire : cure de repos intense et
      suralimentation; on y fait 5 repas par jour ( 8h, 12h, 16h, 19h ) 
      Avec 40% de guérisons seulement, la maison tourne et jouit d'une grande
      renommée. Les pensionnaires prennent leurs repas dans une salle à manger
      très spacieuse et mesurant 7 mètres de haut. 
      En dehors des repos et des promenades réglementaires, les pensionnaires
      peuvent occuper leurs loisirs à la bibliothèque, à la salle de jeux, à
      la salle de spectacles; ils disposent d'instruments de musique, d'un cinématographe,
      d'un phonographe, etc ...
       
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      | 
   
 
  
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    Quelques
      extraits d'une carte postale du 1er juillet 1907.
       "Cher Paul,
      chère Léonie, 
      Je commence à revenir à moi. De"puis mon arrivée (18 juin) j'ai
      traversé quelques mauvais jours qui ont fait que j'ai toujours tardé
      pour vous écrire. J'ai eu une poussée de 3 clous, fort beaux d'ailleurs
      (comme si je n'avais pas assez connu les honneurs du bistouri) qui m'a
      rendu de fort mauvaise humeur. Avec cela du froid, de sorte que j'étais
      comme engourdi. Enfin les clous sont guéris, le soleil a daigné se
      montrer: je renais. Peut-être ces mauvaises journées contribueront-elles
      à me faire paraître olus doux celles qui vont suivre. 
      Je pense que je m'accommoderai pas mal de ma nouvelle villégiature. Le
      Sanatorium est situé à environ 600 m d'altitude entre Ste Feyre et
      Guéret, à 3,5km de l'un et 5km de l'autre. Quel merveilleux
      établissement: longs couloirs, vastes salles très bien aérées,
      chambres particulières; partout l'électricité jusque dans les plus
      petits recoins, le chauffage à vapeur. Et de l'air, ah ! de l'air, nous
      connaissons cela car nous sommes y sommes toute la
      journée - et je pourrais ajouter toute la nuit - dehors. Nous devons
      faire 6h de cure proprement dite , et 6h de promenade environ. Nous
      restons étendus en plein air - à l'abri, cela s'entend - sur une chaise
      longue (matelas, oreiller, couverture rien ne manque). On bavarde, on
      chante, on lit et on dort, défense de s'asseoir. Il va sans dire que les
      6h de cure et les 6h de promenade sont convenablement réparties. Les
      heures de La promenade est facultative; on peut toujours
      consacrer son temps à faire sa correspondance ou à jouer au croquet, ce
      qui est mon habitude.  
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      | 
   
 
  
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    Pour la
      première chose, nous disposons d'une immense salle appelée salle de
      réunions et où se trouve la bibli. Le jeu de croquet est en permanence
      dans la cour et je fais ma partie tous les soirs de 5h1/2 à 7h, avec les
      collègues (je dois vous dire que l'établissement ne comptent que des
      inst. ou des instes parmi ses malades.) 
      Le médecin directeur déjeune à notre table; c'est vous dire que la
      boustifaille est bonne et raisonnée. Par jour 5 repas. Aux heures de
      collation, du petit déjeuner ou du goûter, nous avons lait, café ou
      thé, pain, beurre à discrétion. Je vous laisse à penser si je croûte
      bien et si je fais honneur aux repas.  
      Ce dont nous avons à nous plaindre par exemple, c'est du temps. Celui qui
      règne là-haut et qui ouvre les robinets est par trop peu clément ! il
      ferait bien de garder pour lui les vents qu'il déchaîne contre nous
      pauvres innocents ou les pluies dont il nous gratifie si abondamment. Et
      je ne vous dis pas si le tonnerre gronde et si en cette région
      accidentée, le son se répercute à plaisir. Cré nom d'un tonnerre !
      c'est le cas de le dire.  
      La nuit, nous couchons la fenêtre ( la porte plutôt, une grande porte à
      battants ) grande ouverte ( pas de volets ) c'est un peu comme si nous
      étions dehors quand il tonne, brrr ! ... Le soir on s'endort bercé par
      le cri-cri des grillons qui pullulent ici, par le coassement des
      grenouilles, des crapauds et par le chant du coucou.  | 
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    Nous
      sommes presque dans les bois. Tout autour de nous ce sont des hauteurs
      souvent boisées où les hôtes chantent toute la journée. 
      C'est champêtre. 
      Voilà les vacances qui approchent. Il va sans dire qu'elles ne nous
      verront pas ensemble. Vous m'enverrez quelques cartes hein ! 
      A la suite d'un examen médical que m'a fait passer le docteur, j'ai su
      que j'étais ici pour "quelques mois". Voila qui ne m'en dit pas
      très long, ... ou peut être trop long.  
      Enfin patientons ! Je dois me guérir complètement. Je ne suis pas très
      atteint. La plupart de ceux qui sont ici y sont venus parce qu'ils se
      trouvaient dans l'impossibilité absolue de continuer leur service;
      d'autres l'avaient quitté depuis q;q temps déjà. Je ne suis pas dans ce
      cas, merci et si je suis ici c'est tout simplement parce que j'y est été
      poussé presque l'épée dans les reins. Je vais faire en sorte de ne pas
      trop m'y ennuyer: la compagnie et la cordialité des collègues, la
      merveilleuse organisation de l'établissement, seront, je l'espère de
      sérieux adoucissements au régime de l'éloignement. 
      Je n'ai plus qu'à me laisser vivre. 
      Je m'aperçois que je bavarde beaucoup. Je finis. 
      Je vous embrasse bien tous et vous souhaite bonnes vacances. Peut-être
      vous écrirai-je ou vous enverrai une carte d'ici là.
      Votre frère et oncle
      affectionné. 
                       
      illisible 
      Si vous voulez voir
      où se trouve Ste Feyre, regardez sur la carte qui se trouve dans le
      bureau de Paul, à gauche en entrant dans la Creuse, tout près de
      Guéret."  | 
      | 
   
 
  
    |   | 
      | 
    Le Dr
      Berthelon, qui a acquis une juste célébrité dans le monde enseignant
      par sa compétence et par son zèle, suit après leur sortie du
      sanatorium, les malades et les revoit dans des consultation périodiques
      qui ont lieu à Paris et à Lyon. Il assure ainsi pour beaucoup la consolidation
      des résultats qu'ils ont acquis par leur cure à Sainte-Feyre.
       Grâce aux résultats
      obtenus au sanatorium, la confiance est peu à peu venue à l'œuvre
      entreprise par l'Union et le nombre des Sociétés adhérentes s'est accru
      constamment.  | 
      | 
   
 
  
    |   | 
      
      En septembre 1913: le Président de la République, Raymond
      Poincaré, en visite touristique de 7 jours en Limousin, Quercy et
      Périgord, lors de son étape entre Guéret et Aubusson, fait un détour
      par le Sanatorium pour le visiter et saluer les malades. Il est
      accompagné de Monsieur Renè Viviani député de la Creuse (de 1910 à
      1922) ex ministre du travail et futur ministre de l'instruction publique
      en 1913, futur président du conseil et ministre des affaires étrangères
      en 1914. 
      Cette visite marque une reconnaissance de l'établissement. | 
      | 
      | 
   
 
  
    |   | 
     
       Les décès au Sanatorium
      déclarés à la mairie de Ste-Feyre (relevés "généal23")
      avant la Guerre 1914.  | 
      | 
   
  
    |   | 
    
        
          | Années | 
          +
            Hommes | 
          +
            Femmes | 
         
        
          | 1906 | 
          3 | 
          0 | 
         
        
          | 1907 | 
          3 | 
          3 | 
         
        
          | 1908 | 
          1 | 
          1 | 
         
        
          | 1909 | 
          1 | 
          2 | 
         
        
          | 1910 | 
          4 | 
          4 | 
         
        
          | 1911 | 
          6 | 
          4 | 
         
        
          | 1912 | 
          9 | 
          3 | 
         
        
          | 1913 | 
          11 | 
          4 | 
         
        
          | 1914 | 
          5 | 
          3 | 
         
        | 
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    |   | 
    Quelques
      noms d'employés rencontrés comme témoins sur les registres de l'état
      civil de Ste-Feyre jusqu'en 1914: 
      DEVOIZE Armand (économe), BAIN Jean (infirmier), GRAVILLON François
      (cocher), NICOLAS Jules (cocher)
      
      Après la déclaration de
      Guerre, jusqu'en janvier 1915: 
      DEVOIZE Armand (économe), PAULY Ambroise (cocher), PRUCHON Jacques
      (chauffeur).
       
     | 
      | 
   
  
    |   | 
      | 
      | 
   
 
 
 
  
    |   | 
    Le
      Sana pendant
      la Première Guerre Mondiale de 1914 à 1919. | 
      | 
   
 
  
    |   | 
    Le
      1er août 1914, la France décrète "la
      mobilisation générale".
       Dès
      le 2 août 1914
      le Dr Berthelon est mobilisé au 78ème régiment d'Infanterie
      (Régiment guérétois - voir son historique dans les pages
      "Guéret") et le 3 ou le 4 août part vers la Champagne.  
     | 
      | 
   
 
  
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      | 
                      
          | 
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    |   | 
    
       Le 3 août 1914,
      l'Allemagne déclare la guerre à la France.    
       La mobilisation d'une
      grande partie du personnel oblige la fermeture de l'établissement mais
      des malades, faisant preuve d'"insubordination", refusent de
      rentrer chez eux.  
 La dernier décès de civil, le 
        à partir du  1er janvier
      1915 et jusqu'à  mai 1919, le Sanatorium est mis à la disposition de
      l'armée et devient "l'Hôpital
      Complémentaire n°38" où seront soignés des soldats "blessés
      du poumon" et des tuberculeux par fait de guerre. 
      Étaient arrivés un médecin-major (  Victor BARBENCY ) et 35 infirmiers militaires.
      Même l'entrée principale est transformée en chambres. 
      Les effectifs oscillèrent constamment autour de 300 malades. ( dans un
      rayon de 200 km aucun autre hôpital ne peut accueillir des soldats
      tuberculeux) Le
      premier d'une longue liste de soldats décédés au Sanatorium fut, le 11
      janvier 1915,  Louis Joseph CASTEL, célibataire, né dans le Nord à
      Bousebecque le 28/6/1893 (inhumé dans le carré militaire de Ste Feyre). 
       
      Il y eut environ environ 3200 entrées en provenance des Hôpitaux de la
      18ème Région Militaire (Bordeaux).
       L'économe habituel du
      Sanatorium (Armand DEVOIZE) est resté en place et gérait l'exploitation
      agricole qui assurera la quasi totalité du ravitaillement.   
      En 1917, malgré
      des pressions menées par certaines sociétés affiliés, les autorités militaires
      refusent  de rendre l'établissement aux civils, en raison des
      carences du dispositif sanitaire français. 
      En septembre 1918,
      sous la pression de Léon Bourgeois, une concession est faite à l'UNSSMI
      qui recouvre 34 lits. 
      Il faut attendre le 20
      juin 1919 pour que le sanatorium soit intégralement redevenu
      "civil". 
        | 
      | 
   
 
 
 
  
    |   | 
    A
      partir des relevés de l'état civil de Ste Feyre. | 
      | 
   
  
    |   | 
      | 
      | 
   
 
  
    |   | 
    
        
          | années | 
          +
            militaires | 
          +
            civils hommes | 
          +
            civils femmes | 
         
        
          | 1915 | 
          28 | 
          0 | 
          1 (3
            janvier) | 
         
        
          | 1916 | 
          36 | 
            | 
            | 
         
        
          | 1917 | 
          94 | 
            | 
            | 
         
        
          | 1918 | 
          80 | 
          2 | 
            | 
         
        
          | 1919
            pendant la période "militaire" | 
          29 | 
          1 | 
            | 
         
        
          |   | 
          267 | 
          3 | 
          1 | 
         
        | 
      | 
   
 
  
    |   | 
    267
      militaires ont trouvé la mort au Sanatorium de Sainte-Feyre. 131 d'entre
      eux sont inhumés au "carré militaire" du cimetière de
      Sainte-Feyre, parmi eux des tchécoslovaques 
      espagnols, martiniquais, guadeloupéens, algériens, sénégalais,
      malgaches, quelques "travailleurs" chinois et italiens.
      Quelques noms de
      "travailleurs" rencontrés
      sur les registres de Ste-Feyre pendant cette période: 
                 
      Civil:         Jacques PRUCHON
      (chauffeur début 1915) 
                                
      Jules NICOLAS (35 ans cocher) 
                                
      Jean CHEVALIER (27 ans économe) 
                  
      militaires   Marcel BOURZAT (officier) 
                                 
      Raymond TALLET (36 ans capitaine) 
                                 
      Victor BARBENCY (38 ans médecin) 
                                 
      Henri MARTIN (45 ans sergent infirmier) 
                                 
      Raymond MALIGNE (44 ans sergent infirmier) 
                                 
      Jean OLLIVIER (44 ans caporal infirmier) 
                                 
      Jean VARACHE (42 ans infirmier) 
                                 
      Louis BENARD (36 ans vaguemestre et caporal infirmier) 
                                 
      Pierre PEYNOT (40 ans infirmier) 
                                 
      Alexandre JOULOT (39 ans infirmier) 
                                 
      Charles CARPENTIER (26 ans caporal puis sergent infirmier) 
                                 
      Henri BOUDART (23 ans infirmier) 
                                 
      Marcelin CALIS (26 ans infirmier).
      | 
      | 
   
 
 
 
        
           
                  Ils
      sont morts au sanatorium ou à l'Hôpital complémentaire numéro 38
      pendant cette guerre.     
           Ils sont
      inhumés dans le carré militaire du cimetière de Sainte-Feyre.  
           
      Ils sont sans doute
      civils
      
      Liste faite avec les  Relevés de généal23 (Photo
      de Sylvie DUSSOT  retranscription par Henri BERTRAND)   | 
         
       
 
 
        
           
                     I) Pendant "la
            période de fermeture" du 3 août 1914 au 1 janvier 1915.
               | 
         
       
 
 
        
          | Déclaration
            de +  | 
          Date 
            du +  | 
          Lieu
            du  + | 
          Prénoms
            et Nom | 
          naissance | 
            | 
            | 
         
        
          |   | 
         
        
          |  06/08/1914   | 
            | 
          Sanatorium | 
          Gabriel
            Jacques SOULET | 
           à
      GRAULHET le 2 décembre 1884 | 
          instituteur | 
            | 
         
        
          | 12/08/1914   | 
            | 
          Sanatorium | 
          Gabrielle Amande
            BOUTET  | 
           à PARIS 11e le 19 juillet 1862 | 
           inspectrice à
            PARIS | 
            | 
         
        
          | 31/08/1914   | 
            | 
          Sanatorium | 
          Jean Benjamin
            BECRET
           | 
           à OUTREPONT le 8 novembre 1887 | 
          instituteur | 
          célibataire | 
         
        
          | 20/10/1914   | 
           le 19 | 
          Sanatorium | 
          Henri BOURIN   | 
          
      à VITRY (Marne) le 30 mai 1892 | 
          instituteur | 
          célibataire | 
         
        
          | 30/11/1914   | 
           le 29
           | 
          Sanatorium | 
           Marguerite
            PAUPARDIN
           | 
           à NOISIER le 5 mars 1877
           | 
           institutrice
           | 
          célibataire | 
         
        
          |   | 
         
        
          | 03/01/1915   | 
            | 
          Sanatorium | 
          Marthe MARTY  | 
           à CAMARES le 22 juin
      1886 | 
           institutrice
           | 
          célibataire | 
         
       
 
 
        
           
                       II) Pendant
      "la période strictement militaire" du 1 janvier 1915 à
      septembre 1918.
             
      ( Le premier décès de militaire à lieu le 11 janvier 1915. De
      cette date jusqu'au 7 août 1917, l'officier de l'état civil de la
      commune continue à employer le terme "Sanatorium". Ce n'est
      qu'à partir du 17 août 1917 qu'est employé le terme militaire
      "d'hôpital sanitaire numéro 38".) 
               | 
         
       
 
 
        
          | Déclaration
            de +  | 
          Date du +  | 
          Lieu du + | 
          Prénoms
            et Nom | 
          naissance | 
          Grade
            régiment | 
            | 
          Cause
            + | 
            | 
          Remarques | 
         
        
          | Ils sont
      inhumés dans le carré militaire du cimetière de Sainte-Feyre.  | 
         
        
          | 11/01/1915  | 
            | 
          Sanatorium | 
          Louis
            Henri Joseph CASTEL | 
          
      à Bous becque (59) le 28 juin 1893 | 
           soldat
            au 16ème R chasseurs à Pied | 
           célibataire | 
          Maladie
            contractée en service | 
          Mort
            pour la France | 
            | 
         
        
          | 03/02/1915   | 
            | 
          Sanatorium | 
            Joseph Marie MAZERIC  | 
           à
            Cambon (44) le 14 mars 1879 | 
          adjudant
            à la 1ère section de commis administ  | 
            | 
          Tuberculose
            méningée | 
          Mort
            pour la France | 
            | 
         
        
          | 16/03/1915  | 
            le
      15 | 
          Sanatorium | 
          Louis
            Robert ULMER | 
           à
            Kaysersberg (Alsace) le 5 juin 1893 | 
          soldat
            au 239ème RI  | 
          célibataire  | 
          Broncho-pneumonie  | 
          Mort
            pour la France | 
            | 
         
        
          | 21/03/1915  | 
           le 20 | 
          Sanatorium | 
          Auguste Armand
            Joseph PILLE | 
           à St
            Pierre (62) le 24 janvier 1884 | 
          2ème
            classe au 15ème R Artillerie à pied  | 
            | 
          Laryngite
            tuberculeuse | 
          Mort
            pour la France | 
            | 
         
        
          | 06/04/1915   | 
           le 4 | 
          Sanatorium | 
          Henri KRAUS  | 
          
      à Paris (75) le 24 mars 1877 | 
          2ème
            classe au 84ème RI  | 
          célibataire | 
          suite
            de blessure de guerre | 
          Mort
            pour la France | 
            | 
         
        
          |   | 
          
      le 12/04 | 
          Ste
            Feyre. | 
          Louis
            Joseph VIVIER  | 
          à
            Châteauneuf-du-Faou (29) le 11 septembre 1890 | 
          2ème
            classe au 260ème RAC | 
            | 
          Tuberculose
            pulmonaire | 
          Mort
            pour la France | 
          Pas
            dans le registre de Ste-Feyre | 
         
        
          | 22/04/1915  | 
          
      le 21 | 
          Sanatorium | 
          Julien Marie MAILLARD
             | 
          à
            Blain (44) le 28 avril 1884 | 
            | 
          célibataire | 
            | 
          Mort
            pour la France | 
          pas
            trouvé sur "mémoire des hommes" | 
         
        
          | 22/04/1915  | 
          le
            22 | 
          Sanatorium | 
          Georges Urbain MUTEL
           | 
           à
            Argueuil (76) le 24 mai 1886 | 
          soldat
            au 260ème
            RI | 
            | 
          Tuberculose
            pulmonaire | 
          Mort
            pour la France | 
            | 
         
        
          | 23/04/1915   | 
          le 22   | 
          Sanatorium | 
          Paul BERNIER   | 
          au
            Pizou (24) le 8 août 1890   | 
          2ème
            classe au 12ème  escadron du train | 
          célibataire | 
          Tuberculose
            pulmonaire | 
          Mort
            pour la France | 
            | 
         
        
          | 25/04/1915   | 
          le
            24 | 
          Sanatorium | 
           Arsène
      Joseph GREGOIRE
              | 
          à
            Breteil (35) le 11 janvier 1885   | 
          trompette
            au 10ème  RAC | 
           cultivateur
            célibataire | 
          Tuberculose
            pulmonaire | 
          Mort
            pour la France | 
            | 
         
        
          | 28/04/1915   | 
          le
            27 | 
          Sanatorium   | 
           Henri
      Ernest Eugène GRELET  | 
          à
            Benais (37) le 19 septembre 1885   | 
          2ème
 canonnier servant au 3ème 
            RA coloniale | 
           célibataire   | 
          Laryngite
            tuberculeuse | 
          Mort
            pour la France | 
            | 
         
        
          | 05/05/1915   | 
          le
            4 | 
          Sanatorium   | 
           Millak LAZRAG ou Lazrac MILLIAH | 
          à
      GARBOUSSA (Algérie) | 
            | 
            | 
          Maladie
            contractée au service | 
          Mort
            pour la France | 
          pas
            trouvé sur "mémoire des hommes" | 
         
        
          | 13/05/1915  | 
          
      le 12 | 
          Sanatorium   | 
          Louis
            Nicolas MELOT
             | 
           à
            Pourut-St-Rémy (08) le 25 février 1894 | 
          2ème
            classe au 162ème  RI 29ème 
            Cie | 
           célibataire   | 
          Bronchite
            tuberculeuse | 
          Mort
            pour la France | 
            | 
         
        
          | 19/05/1915  | 
           le 18   | 
          Sanatorium   | 
          Guillaume
      Marie le GALL
       | 
           à
            Canihuel (22) le 30 novembre 1881   | 
          soldat
            2ème
            classe au 25ème  RI | 
            | 
          Maladie
            contractée en service | 
          Mort
            pour la France | 
            | 
         
        
          | 03/06/1915   | 
          
      le 2   | 
          Sanatorium   | 
          Joseph Alphonse COPIN
   | 
          à
            Villers-Campeau (59) le 18 décembre 1869   | 
            | 
            | 
            | 
          Mort
            pour la France | 
          pas
            trouvé sur "mémoire des hommes" | 
         
        
          | 04/06/1915   | 
          
      le 3   | 
          Sanatorium   | 
          Jean Baptiste FURNON
   | 
           à
            Terrenoire (42) le 10 janvier 1885   | 
          soldat
            au 6ème
             RI coloniale | 
          Tuberculose
            pulmonaire maladie par les fatigues du service | 
          Mort
            pour la France | 
            | 
         
        
          | 14/06/1915   | 
           le 13  | 
          Sanatorium   | 
           Jules
      Louis Joseph TISSIEZ  | 
          
      à Ham-en-Artois (62) le 4 novembre 1887  | 
          2ème
            classe au 162ème  RI 26ème 
            Cie | 
            | 
          Bronchite | 
          Mort
            pour la France | 
            | 
         
        
          | 28/06/1915  | 
          
      le 27 | 
          Sanatorium   | 
          Raphaël DREUX  | 
          
      à Ige (61) le 22 mai 1884 | 
          soldat
            au 2ème 
            R Artillerie Coloniale | 
          célibataire | 
          Tuberculose
            pulmonaire | 
          Mort
            pour la France | 
            | 
         
        
          | 05/07/1915  | 
           le 4   | 
          Sanatorium   | 
          Laurent
            Marie GROS  | 
          à
            St-Rémy (13) le 18 avril 1878   | 
            | 
           cocher
            célibataire | 
            | 
          Mort
            pour la France | 
          pas
            de fiche sur "Mémoire des hommes" | 
         
        
          | 08/07/1915   | 
           le 7   | 
          Sanatorium   | 
           Jean Eugène TEILLET
           | 
           à
            Sourzac (24) le 9 août 1880   | 
          soldat
            au 50ème
             RI  | 
            | 
          Maladie
            contractée en service | 
          Mort
            pour la France | 
            | 
         
        
          |  20/07/1915   | 
           le 19 | 
          Sanatorium | 
           Félix
      Boniface DIAGNE  | 
          
      à Dakar (Sénégal) le 15 août 1895 | 
          soldat | 
            | 
            | 
            | 
            | 
         
        
          | 22/07/1915  | 
           le 21   | 
          Sanatorium   | 
          
      Jean Baptiste BARDET  | 
          
      à Nantiat (87) le 10 septembre 1886   | 
          soldat
            au 338ème
             RI  | 
           célibataire   | 
          Tuberculose
            pulmonaire | 
          Mort
            pour la France | 
            | 
         
        
          | 19/09/1915   | 
           le 18  | 
          Sanatorium  | 
          Joseph VILLE   | 
          
      à Quaromble (59) le 2 février 1894   | 
          soldat
            au 127ème
             RI  | 
           célibataire  | 
            | 
          Mort
            pour la France | 
            | 
         
        
          | 14/11/1915  | 
           le 12   | 
          Sanatorium   | 
           Marc
            BOURHIS | 
          à
            Trégune (29) le 17 février 1895   | 
          soldat
            2ème classe au 82ème
            RI 3ème
            Bat 10ème
            Cie | 
           célibataire   | 
          Maladie
            contractée en service | 
          Mort
            pour la France | 
            | 
         
        
          | 23/11/1915   | 
           le
      22   | 
          Sanatorium   | 
          Paul DESSAUVAGES
   | 
           à
            Roubais (59) le 16 août 1887   | 
          soldat
            2ème classe au 162ème
 RI  | 
            | 
          Tuberculose
            pulmonaire | 
          Mort
            pour la France | 
            | 
         
        
          |  25/11/1915   | 
           le 24 | 
          Sanatorium | 
          Alfred Jules Léopold GODEFROY  | 
           à
            Huby-St-Leu ( 62) le 19 février 1874 | 
          soldat
            au 5ème
 RIT | 
            | 
            | 
          Mort
            pour la France | 
            | 
         
        
          | 08/12/1915  | 
           le 7   | 
          Sanatorium   | 
          Maurice
      Paul LENAIN   | 
          
      à Lille (59) le 27 décembre 1886   | 
           soldat
            2ème classe au 362ème
 RI  | 
            | 
          Tuberculose
            pulmonaire | 
          Mort
            pour la France | 
            | 
         
        
          |  29/12/1915   | 
          
      le 28 | 
          Sanatorium   | 
          Alfred HERBEZ
             | 
          
      à Lens (62) le 3 avril 1893  | 
           soldat
            au 43ème
 RI  | 
          mineur
            célibataire | 
          Tuberculose
            pulmonaire et pneumonie | 
          Mort
            pour la France | 
            | 
         
       
 
 
        
          | Déclaration
            de +  | 
          Date du +  | 
          Lieu du + | 
          Prénoms
            et Nom | 
          naissance | 
          Grade
            régiment | 
            | 
          Cause
            + | 
            | 
          Remarques | 
         
        
          | Ils sont
      inhumés dans le carré militaire du cimetière de Sainte-Feyre.  | 
         
        
          | 04/04/1916   | 
           le
      3   | 
          Sanatorium   | 
          Pierre GRANET   | 
           à
            Dournazac (87) le 3 février 1893    | 
          2ème classe
            au 63ème
 RI  | 
            | 
          Tuberculose
            pulmonaire | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 11/04/1916   | 
            le 10
       | 
          Sanatorium   | 
          François COURTOIS
   | 
           à
            Saint-Martial (87) le 23 juillet 1887 | 
          soldat
            à la 12ème | 
            | 
          M | 
           Mort pour la
      France   | 
            | 
         
        
          | 05/05/1916 
       | 
          le 4   | 
          Sanatorium   | 
          Pierre
      Marie ROLLAND   | 
          
      à Malleville (44) le 19 octobre 1890   | 
          soldat
            au 64ème
 RI  | 
           célibataire   | 
            | 
           Mort pour la France    | 
            | 
         
        
          | 11/05/1916   | 
           le 10   | 
          Sanatorium   | 
          Paul Henri Alphonse
      GROZIER     | 
          à
            Malancourt (55) | 
           adjudant
            au 5ème
            RA | 
          célibataire   | 
          Bronchite
            et laryngite bacillaire | 
           Mort pour la France    | 
            | 
         
        
          |  19/05/1916   | 
           le 18  | 
          Sanatorium   | 
          Marcel PLASSEAU 
           | 
           à
            Puyrolland (17)  | 
            | 
           cultivateur
            célibataire  | 
            | 
            | 
          pas
            trouvé sur "mémoire des hommes" | 
         
        
          | 02/06/1916  | 
           le 1er   | 
          Sanatorium   | 
          Clément
      BALMISSE | 
           à
            Saint Mamet (15) le 15 mai 1895   | 
          2ème classe
            au 328ème
 RI  | 
           cultivateur célibataire   | 
          Tuberculose
            pulmonaire | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 08/06/1916   | 
           le 7   | 
          Sanatorium   | 
          Albert Charles
            Édouard TURQUIN   | 
           à
            Leschelles (02) le 3 janvier 1882   | 
          soldat
            2ème classe à la 6ème
            section d'infirmier | 
            | 
          Suite
            de maladie | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 21/06/1916   | 
           le 20   | 
          Sanatorium   | 
          Joseph MORELLET
   | 
           à La
            Motte de Saint-Barthélémy (24)  
            le 2 décembre 1884   | 
          2ème classe
            au 263ème
 RI  | 
            | 
          Maladie
            contractée en service 
            rapatrié d'Allemagne | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 23/06/1916     | 
           le 22 | 
          Sanatorium   | 
            Joseph
            Emile POULAIN | 
          né à
            Sion (44) le 9 mai 1895  | 
          soldat
            2ème classe au 84ème
 RI  | 
           célibataire   | 
          Adénite
            sus-claviculaire bacillaire | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 
       
 29/06/1916   | 
            le 28 | 
          Sanatorium   | 
          André BRISOIS     | 
          
      à Bercenay en Othe (10) le 19 juin 1897  | 
          sapeur
            au 8ème
            Régiment du Génie | 
          célibataire | 
          Maladie
            contractée en service | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 04/07/1916   | 
           le 3 | 
          Sanatorium   | 
            Henri
      Joseph LOGIE   | 
          
      à Steenwerck (59) le 29 mai 1896 | 
          soldat
            au 1ème  RI | 
           cultivateur
            célibataire | 
          Tuberculose | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 06/07/1916   | 
           le 5 | 
          Sanatorium   | 
          Albert SIREUL   | 
          
      à Angoulême (16) le 5 juillet 1876  | 
           soldat au
            107ème RI | 
            | 
            | 
           Mort pour la France   | 
          pas
            trouvé sur "mémoire des hommes" | 
         
        
          | 07/07/1916   | 
            le 6 | 
          Sanatorium   | 
          Marcel
            Émile PLU
   | 
           à
            Cambrai (59) le 3 mai 1891  | 
           Sergent au
            1er RI | 
           célibataire  | 
          Tuberculose
            pulmonaire | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 22/07/1916   | 
           le 21 | 
          Sanatorium   | 
           Adolphe Hubert
      Joseph MAGNIER   | 
           à
            Neuvireuil (62) le 18 février 1878 | 
          soldat
            au 5ème R I | 
            | 
          Tuberculose
            pulmonaire | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 24/07/1916   | 
           le 23 | 
          Sanatorium   | 
           Jean MAPPAS   | 
          
      à La Chapelle-Montbrandeix (87) le 11 mai 1890  | 
            | 
           cultivateur  | 
            | 
           Mort pour la France   | 
          pas
            de fiche sur "Mémoire des hommes" | 
         
        
          | 29/07/1916   | 
           le 28 | 
          Sanatorium   | 
           Alexis François
      Alfred RICHARD   | 
           à
            Menil Jean (61) le 29 juillet 1872 | 
           Sergent au
            34ème RIT  | 
            | 
          Tuberculose
            pulmonaire | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 30/07/1916   | 
           le 29 | 
          Sanatorium   | 
           Emmanuel Dorzile
      Bastien LOCHMAN   | 
           à
            Moule (Guadeloupe) le 24 mai 1891  | 
            | 
           célibataire | 
            | 
           Mort pour la France   | 
          pas
            trouvé sur "mémoire des hommes" | 
         
        
          | 04/09/1916   | 
          
      le 3 | 
          Sanatorium   | 
           Robert DELESQUE 
           | 
           à
            Argentan (61) le 17 juin 1884  | 
            | 
            | 
            | 
           Mort pour la France   | 
          pas
            de fiche sur "Mémoire des hommes" | 
         
        
          | 06/09/1916  | 
            | 
          Sanatorium   | 
          Marcel
      CHARDON | 
          
      à Mérignac (16) le 4 mai 1894   | 
          2ème canonnier
            au 52ème
            RA  | 
           célibataire  | 
          Maladie
            contractée en service | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 11/09/1916  | 
           le 10  | 
          Sanatorium   | 
          Léon GANIVET  | 
          
      à Vicq (87) le 6 octobre 1888  | 
          caporal
            au 7ème RI | 
          menuisier
            célibataire | 
            | 
           Mort pour la France   | 
          pas
            trouvé sur "mémoire des hommes" | 
         
        
          | 02/10/1916  | 
          
      le 1er  | 
          Sanatorium   | 
          Joseph LAMBERT  | 
          
      à Excideuil (24) le 26 décembre 1884 | 
            | 
            | 
            | 
           Mort pour la France   | 
          pas
            trouvé sur "mémoire des hommes" | 
         
        
          | 02/10/1916  | 
           le 1er  | 
          Sanatorium   | 
          Pierre MORINET    | 
          
      à St-Léger-le-Guéretois (23) le 25/10/1877 | 
           soldat au
            91ème RIT | 
            | 
          Tuberculose
            pulmonaire | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 19/10/1916  | 
           le
      18 | 
          Sanatorium   | 
           Firmin POIRIER  | 
          
      à Moutier-Malcard (23) le 30 juin 1888 | 
          soldat
            au 126ème RI | 
            | 
          Blessure
            de guerre et tuberculose | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 22/10/1916  | 
           le 21  | 
          Sanatorium   | 
          Charles ARDILLIER
               | 
           à
            Bessines (87) le 9 août 1885 | 
          soldat
            au 138ème RI | 
           charron
            célibataire | 
          Maladie | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 25/10/1916  | 
           le 24 | 
          Sanatorium   | 
           Pierre DUCOURT  | 
          
      à Aureilhan (40) le 7 septembre 1891 | 
          sapeur
            au 8ème
            Régiment du Génie | 
           célibataire  | 
          Maladie
            contractée en service | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 25/10/1916     | 
           le 24 | 
          Sanatorium   | 
           Silvain LETANG   | 
          
      à St Léger-Magnareix (87) le 13 août 1885  | 
            | 
            | 
            | 
           Mort pour la France   | 
          pas
            trouvé sur "mémoire des hommes" | 
         
        
          |  25/10/1916   | 
           le 24 | 
          Sanatorium   | 
          Marcel
            Auguste Théophile CHAUVET   | 
          
      à Lourdoueix-St-Pierre (23) le 27 février 1892 | 
          1ère
            classe
            au 172ème
 RI  | 
           célibataire  | 
            | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 29/10/1916   | 
           le 28 | 
          Sanatorium   | 
          Joannès JEANDIE
   | 
           à
            Naves (19) le 27 juin 1895  | 
          2ème classe
            au 37ème
 RIC | 
           cultivateur
            célibataire | 
          Maladie
            en service | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 06/11/1916   | 
           le 5 | 
          Sanatorium   | 
          Emile Achille
      Florémont WALET 
           | 
           à
            Mouriez (62) le 12 mai 1895  | 
          brigadier
            au 112ème
             RAL | 
           célibataire  | 
          Tuberculose
            pulmonaire aiguë | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 09/11/1916  | 
           le 8 | 
          Sanatorium   | 
          Claude CAVARD  | 
          
      à Magnat-l'Etrange (23) le 22 octobre 1877  | 
            | 
          tuilier | 
            | 
           Mort pour la France   | 
          pas
            trouvé sur "mémoire des hommes" | 
         
        
          | 14/11/1916  | 
           le 13 | 
          Sanatorium   | 
          Jean GRAMOND  | 
          
      à Noailles (19) le 30 octobre 1887  | 
          2ème classe
            au 122ème
 RI | 
           célibataire | 
          Tuberculose
            pulmonaire | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 17/11/1916   | 
           le 16 | 
          Sanatorium   | 
          Jean Alexis HUSSON
   | 
           à
            Narcq ( 08) le 26 décembre 1874  | 
          sergent
            au 309ème
 RI | 
           employé au chemin de fer  | 
          Maladie
            contractée en service | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 21/11/1916   | 
           le 20 | 
          Sanatorium   | 
          Paul Nicolas
      JACQUEMET   | 
           à
            Souilly (55) le 13 août 1877  | 
          soldat
            au 6ème 
            escadron du train des équipages | 
          domestique | 
            | 
           Mort pour la France   | 
          pas
            de fiche sur "Mémoire des hommes" | 
         
        
          | 24/11/1916   | 
           le 23 | 
          Sanatorium   | 
          Alphonse CHAUMETTE
   | 
           à
            Fresselines (23) le 25 mai 1885  | 
            | 
           cultivateur | 
            | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 02/12/1916   | 
           le 1er | 
          Sanatorium   | 
          Victor FARET   | 
          
      à Angoulême (16) le 1er février 1875 ,  | 
           soldat
            au 107 | 
            | 
            | 
           Mort pour la France   | 
          pas
            de fiche sur "Mémoire des hommes" | 
         
        
          | 30/12/1916  | 
           le 29 | 
          Sanatorium   | 
          Pierre
      AUDY | 
           à
            Ajat (24) le 15 juillet 1881  | 
           soldat au 50ème RI  | 
           meulier  | 
          Tuberculose
            pulmonaire | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
       
 
 
  
    |   | 
    Délibération
      du conseil municipal de Sainte-Feyre du 4 mars 1917: 
      vote d'une subvention de 191 francs pour défonçage du terrain dans le
      cimetière communal pour l'inhumation des militaires décédés au
      sanatorium. | 
      | 
   
 
 
 
        
          | Déclaration
            de +  | 
          Date du +  | 
          Lieu du + | 
          Prénoms
            et Nom | 
          naissance | 
          Grade
            régiment | 
            | 
          Cause
            + | 
            | 
          Remarques | 
         
        
          | Ils sont
      inhumés dans le carré militaire du cimetière de Sainte-Feyre.  | 
         
        
          |  02/01/1917   | 
           
      le 1er | 
          Sanatorium   | 
          Jean VESSAT     | 
          à
            Atur (24) le
      1er août 1875   | 
           soldat au
            21ème RA | 
            | 
            | 
           Mort pour la France   | 
          pas
            trouvé sur "mémoire des hommes" | 
         
        
          | 07/01/1917   | 
           le 6 | 
          Sanatorium   | 
           Henri FAYAC   | 
          à
            Sadrac ( 19) le 14 novembre 1893   | 
           soldat
            1ère classe au 126ème RI  | 
          célibataire   | 
          Tuberculose
            pulmonaire en service | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 20/01/1917  | 
           le 19 | 
          Sanatorium   | 
           Silvain
            FAGEOLLE
                | 
          à
            Verdon (24) le 13 mars 1895   | 
           soldat au
            49ème RI | 
          célibataire | 
          Tuberculose
            pulmonaire | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 23/01/1917  | 
           le 22 | 
          Sanatorium   | 
          Pierre
            Louis AUDIER | 
          à
            Ruffec (16) le 24 novembre 1869   | 
          Sergent
            au 94ème RIT | 
            | 
          Maladie
            en service commandé | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 24/01/1917  | 
           le 23 | 
          Sanatorium   | 
          Lucien Emile
            Pierre CREMON
   | 
          à
            Sarlat (24) le 27 février 1895   | 
           2ème 
            sapeur mineur au 7ème  R du Génie | 
          célibataire | 
          maladie
            hémoptysie bacillaire | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 25/01/1917  | 
           le 24 | 
          Sanatorium   | 
          Victor Pierre
      LASTERRAS   | 
           à St-Vaury
            (23) le 23 décembre 1877   | 
           soldat au
            127ème RI | 
            | 
            | 
           Mort pour la France   | 
          pas
            trouvé sur "mémoire des hommes" | 
         
        
          | 27/01/1917  | 
           le 26   | 
          Sanatorium   | 
          Mathieu PRADEAUX
  | 
           
 à Eyburie (19) le 19 octobre 1877,    | 
           
 soldat au 100ème RI  | 
          célibataire   | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
          pas
            de fiche sur "Mémoire des hommes" | 
         
        
          | 28/01/1917   | 
           le 27   | 
          Sanatorium   | 
          Eugène Jules Marie
      TERRIEN   | 
           à
            Erbray (44) le 17 novembre 1895 | 
          2ème classe
            au 36ème
 RI | 
          célibataire   | 
          Tuberculose
            pulmonaire | 
            | 
            | 
         
        
          | 04/02/1917   | 
           le 3   | 
          Sanatorium   | 
           Jean NICOINE   | 
          
      à Peuzol (87) le 16 juillet 1892  | 
           soldat
            réformé n°1 au 100ème
 RI  | 
           célibataire    | 
          Tuberculose
            pulmonaire et méningite | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 05/02/1917   | 
           le 4  | 
          Sanatorium   | 
           Eugène NOIR   | 
          
      à Arceau(21) le 20 septembre 1894 | 
          2ème
            classe au 16ème Bataillon Chasseurs à pied | 
            | 
          Tuberculose
            pulmonaire | 
          
      Mort pour la France  | 
            | 
         
        
          | 11/02/1917  | 
           le 10  | 
          Sanatorium   | 
          René Arthur DUMONT
  | 
           à
            Rubecourt (08) le 20 novembre 1886   | 
           maréchal des logis au
            2ème Hussards | 
          célibataire   | 
          Maladie
            contractée en service | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 15/02/1917  | 
           le 14  | 
          Sanatorium   | 
          Léonard Paul
      FAUCONNET  | 
           à
            Quinssaine (03) le 11 octobre 1874   | 
          2 | 
            | 
          Tuberculose
            pulmonaire | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 16/02/1917  | 
           le 15  | 
          Sanatorium   | 
          Jérôme
      Auguste François POUILLE   | 
           à
            Vieux-Berguin (59) le 21 janvier 1888  | 
          soldat
            au 73ème RI 31ème compagnie | 
           célibataire  | 
          Maladie
            en service commandé | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 17/02/1917    | 
           le
      16  | 
          Sanatorium   | 
          Betsi
            Mis Araka BETAKOLY
          | 
           en 1893 à
            Takoly (Yokumara) (Madagascar) | 
          soldat
            au 2ème bataillon malgache | 
            | 
            | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 
 21/02/1917   | 
           le 20  | 
          Sanatorium   | 
            Henri
            Jean Pierre ESTRADE  | 
          
      à Naves (19) le 7 février 1896 | 
           2ème
            classe au 120ème RI  | 
           célibataire  | 
          Tuberculose
            pulmonaire | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 26/02/1917   | 
           le 25  | 
            | 
          Louis Alphonse
      BERTRAND  | 
           à
            Mautes (23) le 22 juillet 1871  | 
            | 
          cultivateur  | 
            | 
           Mort pour la France   | 
          pas
            trouvé sur "mémoire des hommes" | 
         
        
          | 02/03/1917   | 
           le
      1er  | 
          Sanatorium   | 
          Jean Léon LUC  | 
          
      à Laval (19)  | 
           au
            300ème RI | 
            | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
          pas
            trouvé sur "mémoire des hommes" | 
         
        
          | 
 02/03/1917   | 
           le 1er  | 
          Sanatorium   | 
          Pierre CHARBONNEL
  | 
           à
            Tulle (19) le 28 octobre 1885   | 
           soldat
            de 2 | 
          célibataire  | 
          suite
            de maladie contractée dans les fonction d'infirmier | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 
 03/03/1917   | 
           le 2  | 
          Sanatorium   | 
          Ferdinand Paul LEGOFF
  | 
           à
            Quimper (29) le 15 novembre 1878  | 
           maréchal des
            logis-chef  | 
            | 
            | 
           Mort pour la France   | 
          pas
            trouvé sur "mémoire des hommes" | 
         
        
          | 08/03/1917   | 
           le
      7  | 
          Sanatorium   | 
          Daniel Louis HOCHART
  | 
           à
            Haubourdin (59) | 
            | 
           Veuf   | 
            | 
           Mort pour la France   | 
          pas
            trouvé sur "mémoire des hommes" | 
         
        
          | 11/03/1917   | 
           le 10  | 
          Sanatorium   | 
          Arsène Albert DUBOIS
  | 
           à
            Joué-en-Charnie (72) le 20 octobre
            1882 | 
            | 
            | 
            | 
           Mort pour la France   | 
          pas
            trouvé sur "mémoire des hommes" | 
         
        
          | 12/03/1917   | 
          le
            11  | 
          Sanatorium   | 
          César
            François HEMAR  | 
          à
            Nieppe (59) le 31 décembre 1877 | 
          adjudant
            au 33 | 
            | 
          Tuberculose
            pulmonaire | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 13/03/1917   | 
          le
            12 | 
          Sanatorium   | 
          
      Joseph Marie LEBOULANGER  | 
          à
            Chatillon (53) le 3 mars 1893 | 
          caporal
            au 104 | 
          cultivateur,
            célibataire | 
          maladie
            contractée aux armées | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 17/03/1917  | 
           le 16 | 
          Sanatorium   | 
          Pierre DUMONTEIL
             | 
           à
            Montboucher (23) le 26 novembre
            1877 | 
            | 
           célibataire
            prêtre | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
          pas
            trouvé sur "mémoire des hommes" | 
         
        
          | 18/03/1917  | 
           le 17   | 
          Sanatorium   | 
          Jean Marcelin BIROU | 
          
      à Gélos (64) le 25 septembre 1891 | 
           soldat
            de 2 | 
           célibataire   | 
          Maladie
            contractée en service | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 20/03/1917   | 
           le 19   | 
          Sanatorium   | 
           Julien VENTENAT 
           | 
           à
            Chabanais (16) le 3 avril 1887    | 
           soldat
            au 78ème RI | 
          célibataire   | 
            | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 
       
 22/03/1917   | 
           le 21   | 
          Sanatorium   | 
          Alphonse CLEMENT
   | 
           à
            Hydes (03) le 30 octobre 1885   | 
          2ème
            canonnier servant au 16ème RA | 
            | 
          Maladie
            contractée en service | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 26/03/1917   | 
            | 
          Sanatorium   | 
           Clément LARROUY 
           | 
           à
            Carcassonne (11) le 25 mai
            1885 | 
          2ème
            classe au 15ème escadron du train | 
            | 
          Maladie
            contractée en service | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 01/04/1917  | 
           le 31/3 | 
          Sanatorium   | 
          Paul
      Edouard AUVRAY | 
          
      à Valcanville (50) le 28 mars 1885   | 
           gendarme
            à pied à la 10ème
            Légion | 
            | 
          Tuberculose
            pulmonaire contractée au front | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 03/04/1917   | 
           le 2  | 
          Sanatorium   | 
          Pierre Paul PROFIT
  | 
           à
            Lonzac (19) le 15 août 1892  | 
           soldat
            de 2ème classe au 1er RI - 8ème
            compagnie | 
           célibataire   | 
          Maladie
            contractée en service | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 05/04/1917   | 
           le 4  | 
          Sanatorium   | 
          Pierre REBIERE  | 
          
      à Juillac (19) le 22 juillet 1894   | 
          2ème
            classe au 102ème RA
            Lourde | 
          
      célibataire   | 
          Maladie
            contractée aux armées | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 06/04/1917   | 
           le 5  | 
          Sanatorium   | 
          Léonard
            Pierre GUERITAUD
  | 
           à
            Limoges (87) le 30 octobre
            1887 | 
          caporal
            au 1er groupe
            d'aviation | 
          célibataire  | 
          Tuberculose
            Broncho-pneumonie | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 08/04/1917   | 
           le 7  | 
          Sanatorium   | 
          Jean BOUSSAT  | 
          
      à Larzac (24) le 2 novembre 1874   | 
          2ème
            classe au 112ème RI | 
           célibataire  | 
          Maladie
            contractée en service | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 08/04/1917   | 
           le 7   | 
          Sanatorium   | 
           Alfred LAJARTHE 
           | 
           à
            Douville (24) le 17 novembre
            1881 | 
           au
            207ème RI | 
          cultivateur   | 
          Tuberculose
            pulmonaire | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 
       
 10/04/1917   | 
           le 9   | 
          Sanatorium   | 
           Louis DURAND    | 
          
      à Angoulême (16) le 10 janvier 1871    | 
           soldat
            au 94ème RIT | 
            | 
            | 
           Mort pour la France   | 
          pas
            de fiche sur "Mémoire des hommes" | 
         
        
          | 12/04/1917   | 
           le 11   | 
          Sanatorium   | 
            Victor François
      MAYETON   | 
           à
            Jouillat (23) le 3 décembre 1877  | 
            | 
           maréchal   | 
            | 
           Mort pour la France   | 
          pas
            trouvé sur "mémoire des hommes" | 
         
        
          | 16/04/1917   | 
           le 15   | 
          Sanatorium   | 
           Ernest Augustin DUVAL 
           | 
           à
            Montreuil sur Mer (62 ) le 23 juin
            1895 | 
           soldat
            au 73ème RI | 
          célibataire   | 
          Tuberculose
            pulmonaire | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 19/04/1917   | 
          le
            18 | 
          Sanatorium   | 
          Louis
            JOUSSAIN  | 
          à
            Beyssenac (19) le 13 mai 1877 | 
          Sergent
            au 95ème RTI | 
            | 
          Maladie
            en service commandée | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 24/04/1917   | 
           le 23 | 
          Sanatorium   | 
           Marcel
      Jules GARDET   | 
          
      à Avance (25) le 12 avril 1896 | 
          2ème
            canonnier conducteur au 47ème RA | 
          célibataire | 
          Tuberculose
            pulmonaire | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 25/04/1917   | 
           le 24 | 
          Sanatorium   | 
           Auguste DEBATY    | 
          
      à Molain (02) le 11 janvier 1874 | 
          soldat
            au 43ème RI coloniale | 
          mécanicien | 
            | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 27/04/1917   | 
           le 26 | 
          Sanatorium   | 
           Liang TCHONG    | 
          30
      ans | 
            | 
          célibataire | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 30/04/1917   | 
           le 29 | 
          Sanatorium   | 
           Gabriel Jules GERARD 
       
        | 
           à
            Nantes (44) le 13 janvier 1891 | 
          1ère
            classe 4ème
            mixte de Zouaves et de Tirailleurs | 
           célibataire | 
          Tuberculose
            pulmonaire | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 30/04/1917  | 
           le 29 | 
          Sanatorium   | 
          Camille Georges
      COULON  | 
           à
            Saulny (37) le 12 octobre 1894, | 
          maréchal
            des logis au 23ème RA | 
          célibataire | 
          Tuberculose
            pulmonaire | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 03/05/1917  | 
           le 2 | 
          Sanatorium   | 
          Anatole Charles Eugène
      SIGONAUD   | 
           à
            St-Georges-les-Landes (87)  
 le 9 décembre 1896 | 
           au
            112ème RA | 
          célibataire | 
            | 
           Mort pour la France | 
          pas
            trouvé sur "mémoire des hommes" | 
         
        
          | 09/05/1917  | 
            le 8 | 
          Sanatorium   | 
          Eugène
            BODINAUD | 
           à
            St-Amand-de-Boixe (17) le 21 avril 1888 | 
           soldat
            de 2ème classe au 50ème RI | 
            | 
          Maladie
            contractée en service | 
            | 
            | 
         
        
          | 10/05/1917  | 
           le 9 | 
          Sanatorium   | 
          Marcel
      Camille CHEUTIN | 
          
      à Château-Thierry (02) le 27 avril 1897  | 
           au
            46ème RA | 
           célibataire | 
            | 
           Mort pour la France | 
          pas
            trouvé sur "mémoire des hommes" | 
         
        
          |  11/05/1917    | 
           le 10 | 
          Sanatorium   | 
          Auguste Benoit
      LEPRETRE  | 
           à
            Desvers (62) le 1er mai
            1889 | 
            | 
            | 
            | 
           Mort pour la France   | 
          pas
            trouvé sur "mémoire des hommes" | 
         
        
          |  13/05/1917   | 
           le 12 | 
          Sanatorium   | 
          Gabriel CLEMENT
              | 
           à
            Roziers d'Egleton (19) le 18 mars 1889 | 
           Sergent au
            138ème RI | 
          célibataire | 
          Tuberculose
            pulmonaire | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          |  15/05/1917   | 
           le 14 | 
          Sanatorium   | 
          Léonard POURET  
           | 
           à
            Limoges (87) le 4 août 1874  | 
          
      
 soldat au 6ème Génie | 
            | 
          Tuberculose
            pulmonaire | 
           Mort pour la France | 
            | 
         
        
          | 16/05/1917   | 
           le 15 | 
          Sanatorium   | 
          Etienne
            Pierre Victor Maurice BOUCHET  | 
          
      à Angoulême (16) le 2 juin 1891 | 
          maréchal
            des logis au 52ème RA | 
          célibataire | 
          Maladie
            contractée en service | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 19/05/1917   | 
             le 18 | 
          Sanatorium   | 
          Jean QUOIREAU    | 
          
      à Abjat (24) le 3 décembre 1884 | 
          soldat
            au 63ème RI | 
            | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
          pas
            de fiche sur "Mémoire des hommes" | 
         
        
          | 22/05/1917   | 
          
      le 21 | 
          Sanatorium   | 
          Antoine DUMAY    | 
          
      à St LEONARD (Haute-Vienne) le 24 juin 1879 | 
            | 
            | 
            | 
           Mort pour la France | 
            | 
         
        
          | 25/05/1917   | 
           le 24 | 
          Sanatorium   | 
          Marcel HAUDEAU   | 
          
      à VAILLY sur Sauldre (Cher) le 13 mai 1894 | 
           au
            7ème
            Génie | 
           célibataire, | 
            | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 25/05/1917   | 
          
      le 24   | 
          Sanatorium   | 
          Jean Victor BOUCHET
                | 
           à PARSAC (Creuse) le 26 mai
            1889   | 
            | 
            | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 27/05/1917   | 
          
      le 26 | 
          Sanatorium   | 
          Jean MERLE   | 
          
      à PARIS le 11 janvier 1868  | 
           au
            78ème RI | 
            | 
            | 
           Mort pour la France | 
            | 
         
        
          | 27/05/1917   | 
            | 
          Sanatorium   | 
          Blanche Suzanne
      GRAVILLON  | 
          née le 1er février
            1901 | 
            | 
            | 
            | 
            | 
          Civile,
      fille de François Gravillon, cocher | 
         
        
          | 28/05/1917   | 
           le 27 | 
          Sanatorium   | 
          Jean DICHAMP   | 
          
      à BESSIGNAC le HAUT (Corrèze) le 1er juin 1892 | 
           au
            107ème RI | 
           célibataire | 
            | 
           Mort pour la France | 
            | 
         
        
          | 04/06/1917   | 
           le 3 | 
          Sanatorium   | 
          François DEFRAYE
              | 
           à CRAYWICK
            (Nord) | 
           au
            9ème Bat de chasseurs à
            pied | 
          célibataire | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 07/06/1917   | 
           le 6 | 
          Sanatorium   | 
          Louis
            GUYOMARD    | 
          à
            HERBOIS (Côte du Nord) le 10 février 1896 | 
            | 
          célibataire | 
            | 
           Mort pour la France | 
            | 
         
        
          | 09/06/1917  | 
           le 8 | 
          Sanatorium   | 
          Paul
            CHEVILLE  | 
          né
            à DOMERAT (Allier) le 24 septembre 1894 | 
            | 
          célibataire | 
            | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 11/06/1917  | 
           le 10 | 
          Sanatorium   | 
          Camille
      Emile Auguste BOITEL   | 
           à
      CAMPIGNEULES (Pas de Calais) le 22 juillet 1891 | 
            | 
          célibataire | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 26/06/1917   | 
           le 25 | 
          Sanatorium   | 
           Joseph FOUGEAS    | 
          
      à PERPIZAC le NOIR (Corrèze) le 14 mars 1890 | 
            | 
          célibataire | 
            | 
           Mort pour la France | 
            | 
         
        
          | 28/06/1917   | 
           le 27 | 
          Sanatorium   | 
          Denis CHANOUR   | 
          
      à LAUZUN (Haute-Garonne) le 11 février 1895 | 
            | 
          célibataire | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
          témoins habituels donc
            sanatorium   | 
         
        
          | 28/06/1917   | 
           le 27 | 
          Sanatorium   | 
          Pierre Pol SAINT-LOUP
              | 
           à ANCHIAT ( Charente ) le 29 août
            1872 | 
            | 
           comptable
            célibataire | 
            | 
           Mort pour la France | 
            | 
         
        
          | 02/07/1917   | 
           le 1er | 
          Sanatorium   | 
          Emile Auguste VAFFIER
              | 
           à MEAUX le 24 septembre 1887 | 
            | 
          célibataire | 
            | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 07/07/1917   | 
           le 6 | 
          Sanatorium   | 
          Alfred Emile
      MARTIGNON   | 
           à CHENERAILLES le 2 novembre 1896 | 
            | 
           clerc de notaire,
            célibataire | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 09/07/1917   | 
           le 8 | 
          Sanatorium   | 
          Pierre FRUGIER   | 
          
      à FLAVIGNAC (Haute-Vienne) le 21 août 1879 | 
            | 
          cultivateur | 
            | 
           Mort pour la France | 
            | 
         
        
          | 25/07/1917   | 
           le 24 | 
          Sanatorium   | 
          Jean
      Maurice MURAT   | 
          
      à CORNEIL (Corrèze) le 22 septembre 1896  | 
            | 
            célibataire | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 27/07/1917  | 
           le 26 | 
          Sanatorium   | 
           Léon Jules PETIT
  | 
           à BAR le DUC (Meuse) le 18 mai 1876 | 
            | 
           peintre en bâtiment célibataire  | 
            | 
           Mort pour la France | 
            | 
         
        
          | 30/07/1917   | 
           le 29 | 
          Sanatorium   | 
          Maurice
      Louis Elie FAQUEUR (FACQUEUR) | 
          
 à St SYLVESTRE-CAPPEL (Nord) le 16 avril 1894 | 
            | 
           célibataire  | 
            | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 03/08/1917   | 
           le 2 | 
          Sanatorium   | 
           René
      Joseph Antoine RIOCH-NOUILHAC (PIOCH-NOUAILHAC) | 
           à La CHAPELLE ST-JEAN (Dordogne) le 12 mai 1878  | 
            | 
            | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 05/08/1917  | 
           le 4 | 
          Sanatorium   | 
          Antoine PERSONNE
              | 
           à FOSSEMAGNE (Dordogne) le 27 mai 1880 | 
            | 
           cultivateur | 
            | 
           Mort pour la France | 
            | 
         
        
          | 07/08/1917  | 
          
      le 6 | 
          Sanatorium   | 
          Blaise
      BARBE    | 
          à
            JARNAC (Charente) le 28 novembre 1880 | 
            | 
            | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 17/08/1917  | 
           le 16 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Emile LECLERCQ  | 
          à
            NEUVE-CHAPELLE (Nord) le 5 décembre 1898 | 
            | 
           célibataire  | 
            | 
           Mort pour la France | 
            | 
         
        
          | 20/08/1917  | 
           le 19 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
           Urbain DUMOUNEN
  | 
          
 à St REMY (Dordogne) le 22 mars 1893  | 
            | 
          
 célibataire  | 
            | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 23/08/1917   | 
           le 22 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Albert PIOLLET   | 
           à ARS (Creuse) le 24 décembre 1896  | 
            | 
           célibataire  | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 24/08/1917   | 
          
      le 23 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Nguyen VAN-TUAN
      ( Van Tuan NGUYEN)
        | 
          
 à BICH-NHA en 1890 | 
            | 
           célibataire | 
            | 
           Mort pour la France | 
            | 
         
        
          | 31/08/1917   | 
           le 30 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Joseph MONNANT   | 
          
      à VEYRINS ( Isère) le 13 décembre 1874 | 
            | 
           cordonnier  | 
            | 
           Mort pour la France | 
            | 
         
        
          | 08/09/1917   | 
           le 7 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Jean
      Philippe SPINOSI    | 
            
      à GALERIA (Corse) le 26 juin 1897 | 
            | 
           berger célibataire  | 
            | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 11/09/1917   | 
           le 10 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Edouard TARDY   | 
          
      à POUZIOUX (Vienne) le 7 mai 1896 | 
            | 
           célibataire | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 17/09/1917   | 
           le 16 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Joseph COLLART  | 
          
      à AUBY (Nord) le 17 mars 1897  | 
            | 
           célibataire | 
            | 
           Mort pour la France | 
            | 
         
        
          | 28/09/1917   | 
           le 27 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Louis GILLET (né   | 
          
      à MARBONE (Eure et Loire) le 15 avril 1893 | 
            | 
           célibataire | 
            | 
           Mort pour la
      France | 
            | 
         
        
          | 03/10/1917   | 
           le 2 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Moussa SAAR(
      Sahr MOUSSA)   | 
          
      à MOUMBA (Sénégal) le 17 janvier 1885 | 
            | 
            | 
            | 
            | 
            | 
         
        
          | 17/10/1917   | 
          
      le 16 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Léon DAMIENS    | 
          
      à ARRAS le 29 août 1883  | 
            | 
            Veuf  | 
            | 
           Mort pour la
      France | 
            | 
         
        
          | 03/11/1917  | 
           le 2 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Gustave DESAGE  | 
          
      à LIZIERES le 15 août 1897 | 
           Sergent au
            3ème
      Tirailleurs Algériens | 
           cultivateur célibataire | 
            | 
           Mort pour la France | 
            | 
         
        
          | 21/11/1917  | 
           le 20 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Antoine DESJEAN
              | 
           à ST-FRONT D 'ALEMPS (Dordogne)
            le 26 juin 1877 | 
            | 
          cocher | 
            | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 26/11/1917  | 
           le 25 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Alfred DUCAMP   | 
          
      à ST MARTIN D ' HARDINGHEM (Pas de Calais) le 22 novembre 1881 | 
            | 
          
      cultivateur célibataire | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 26/11/1917  | 
           le 25 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Claude Auguste MASSON
              | 
           à BRUGHEAS (Allier) le 4 mai
            1886 | 
            | 
          célibataire | 
            | 
           Mort pour la France | 
            | 
         
        
          | 29/11/1917  | 
            | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Jean
      ANDRIEUX | 
          
      à Limoges (Haute-Vienne) le 28 novembre 1889 | 
           soldat 2ème
      classe au 107ème RI, 1e Cie | 
            | 
           Tuberculose pulmonaire   | 
           Mort pour la France | 
            | 
         
        
          | 29/11/1917  | 
            | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Marcel BIGORNE  | 
          
      à ROYE (Somme) le 8 septembre 1896  | 
            | 
           célibataire | 
            | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 06/12/1917  | 
           le 5 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Justin CHARBONNET
              | 
           à BERTRIE-BUREE (Dordogne) le 3 octobre
            1880 | 
            | 
            | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 06/12/1917  | 
           le 5 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Léon Georges COURY
              | 
           à CHAMBON sur Voueze le 21 septembre
            1879 | 
            | 
            | 
            | 
           Mort pour la France | 
            | 
         
        
          | 28/12/1917  | 
           le 27 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Désiré Blaise
      VIVIER   | 
           à MASSY le 18 août
            1895 | 
           au
            134ème RI, 3 | 
           célibataire | 
            | 
           Mort
      pour la France | 
            | 
         
        
          | 29/12/1917  | 
            | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Joseph
      Pierre BERTHELOT
        | 
           à LAIGNOLE (Ille et Vilaine) le 28 mai 1870 | 
            | 
          célibataire | 
            | 
           Mort
      pour la France | 
            | 
         
       
 
 
  
    |   | 
    Délibération
      du conseil municipal de Sainte-Feyre du 3 mars 1918: 
      Considérant que la partie réservée à la fosse commune dans le
      cimetière de Sainte-Feyre est entièrement occupée par les tombes des
      militaires décédés à l'hôpital sanitaire, le conseil municipal
      demande à l'administration militaire de bien vouloir prendre d'urgence
      des mesures pour assurer l'inhumation des militaires qui viendraient à
      décéder au sanatorium.
      Délibération
      du conseil municipal de Sainte-Feyre du 9 juin 1918: 
      sur la proposition de Monsieur le Maire, approbation du choix fait par la
      commission spéciale pour l'acquisition d'un terrain destiné à servir
      d'emplacement au cimetière militaire de Sainte-Feyre. 
     | 
      | 
   
 
 
 
        
          | Déclaration
            de +  | 
          Date 
            du + | 
          Lieu du + | 
          Prénoms
            et Nom | 
          naissance | 
          Grade
            régiment | 
            | 
          Cause
            + | 
            | 
          Remarques | 
         
        
          | Ils sont
      inhumés dans le carré militaire du cimetière de Sainte-Feyre.  | 
         
        
          |   12/01/1918   | 
            | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
            Remy Joseph ROBERT  | 
           à PRUNAY le
      GUILLON (Eure et loir) le 3 octobre 1893   | 
            | 
            cultivateur
            célibataire   | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 13/01/1918   | 
           le 12   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Georges BOUTIGNON
            .   | 
           à MANTES (Seine et Oise) le 26 mars 1896   | 
            | 
           célibataire   | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 01/02/1918   | 
           le 31/1 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Jacques DEBARBAT
                | 
           à DURDAT (Allier) le 2 mars 1875   | 
            | 
           boulanger   | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 12/02/1918   | 
           le 11   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Marcel
      Marie Antony EAUCLAIRE  
           | 
           à RAON l ' ETAPE (Vosges) le 24 octobre 1894   | 
            | 
           métallurgiste célibataire   | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 
      
 14/02/1918   | 
           le 13   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Etienne Louis MARRET
   | 
           à VOLLORE-MONTAGNE (Puy de Dôme) le 25 décembre 1883   | 
            | 
           marchand de
      vins   | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 15/02/1918   | 
           le 14   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Etienne HEULIN   | 
          
      à SEGRE (Maine et Loir) le 20 décembre 1882    | 
            | 
            | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 24/02/1918   | 
           le 23   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Jean Marie MAUVAISE 
           | 
          
      
 à PLOUAY (Morbihan) le 3 décembre 1895    | 
            | 
          
      
 célibataire    | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 26/02/1918   | 
           le 25   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Léon Joseph ARNAUD
                | 
           à PARIS 18e le 2 juin 1882    | 
            | 
           ébéniste   | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 02/03/1918   | 
           le 1er   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          René Henry GARRY 
           | 
           à CHAILLAUD (Mayenne) le 7 février 1895   | 
            | 
           cultivateur
            célibataire   | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 02/03/1918   | 
           le 1er   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Auguste LAPEBIE  
           | 
           à SAUBRIQUES (Landes) le 26 janvier 1889    | 
            | 
          
      
 cultivateur célibataire    | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 03/03/1918   | 
           le 2   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Louis LEGER   | 
            
      à ARCINE (Haute-Savoie) le 15 avril 1897   | 
            | 
           célibataire   | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 07/03/1918   | 
             le 6   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Roger ROUGIER    | 
          
      à MONCARET (Dordogne) le 18 octobre 1896   | 
            | 
           célibataire   | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 13/03/1918   | 
           le 12   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Jules TRIBOUT    | 
          
      à MONTORRE (Eure) le 3 mars 1877   | 
            | 
           célibataire à Buenos Aires   | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 18/03/1918   | 
           le 17   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Auguste LECADET  
           | 
           à URVILLE-NACQUEVILLE (Manche) le 1er novembre 1890   | 
            | 
           célibataire   | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 18/03/1918   | 
           le 17   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Pietro FERRARI     | 
          
      à TORI de CONFINA (Italie)    | 
           au 54ème Bat de travailleurs italiens | 
           célibataire   | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 21/03/1918   | 
           le 20   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Armand DELMONT    | 
          
      à AULHIAC (Dordogne) le 7 septembre 1887   | 
            | 
           célibataire   | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 24/03/1918   | 
           le 23  | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Alphonse LHERMITTE  
           | 
           à St GERVAIS de VIC (Sarthe) le 27 mai
            1880  | 
            | 
           cultivateur  | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 24/03/1918  | 
           le 23  | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Pierre DELHOTE    | 
          
      à ST-PRIEST-THAURION (Haute-Vienne) le 30 juin 1891  | 
            | 
           cordonnier célibataire  | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 28/03/1918  | 
           le 27   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Paul Fidèle PLOYART
                | 
           à SAILLY sur la LYS (Pas de Calais) le 8 février 1881   | 
            | 
           cultivateur   | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 29/03/1918  | 
           le 28  | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Eugène Pierre
      Joseph DEMESLAY    | 
           à La COUILLARDIERE (Orne) le 9 octobre 1881  | 
            | 
          
      cultivateur  | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 08/04/1918  | 
           le 7   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          François AUDOIN
                | 
           à St GENEST (Haute-Vienne) le 18 février 1897    | 
            | 
          célibataire   | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 13/04/1918  | 
           le 12   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Louis VIVIER     | 
          
      à CHATEAUNEUF (Finistere) le 11 novembre 1890   | 
            | 
          célibataire   | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 19/04/1918  | 
          
      le 18   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Léon ROBERT     | 
          
      à PIGNAN (Hérault) le 29 janvier 1878    | 
            | 
            | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 23/04/1918  | 
           le 22   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Joseph
      Marie CHOTARD     | 
          
      à CAMPENEAC (Morbihan) le 4 décembre 1872    | 
            | 
           cultivateur   | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 25/04/1918   | 
           le 24 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
           Louis PALHOL    | 
          
      à St-CONSTANT (Cantal) le 16 janvier 1878  | 
            | 
            cultivateur | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 07/05/1918   | 
          
      le 6   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          François BERTIN
                | 
           à HASNON (Nord) le 12 novembre 1869   | 
            | 
            | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 07/05/1918   | 
           le 6 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
           Henri Charles FERRAND  
           | 
           à St NICOLAS de BLIQUETUIT (Seine Inférieure) | 
            | 
           cultivateur | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 10/05/1918   | 
           le 9 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
           Henri TAUPIN    | 
          à
            CHASTIGNE (Mayenne) le 3 juin 1895 | 
            | 
          célibataire   | 
            | 
          
      Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 14/05/1918  | 
           le
      13 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Salvador ROIG    | 
          à
            LLESAY-PARTIDO de SOR (Espagne) le 27 juin 1894 | 
            | 
          charpentier
            célibataire 
             demeurant à LAFORCE (Dordogne) | 
            | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 17/05/1918  | 
           le 16   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Pierre BRUN     | 
          
      à LIMOGES le 16 novembre 1879   | 
            | 
          journalier   | 
            | 
            | 
            | 
         
        
          | 31/05/1918  | 
           le 30   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Gilbert Marcel
      GROJEAN     | 
           à FOUG (Meurthe et Moselle) le 21 juin 1899    | 
            | 
           célibataire   | 
            | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 31/05/1918  | 
           le 30 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Julien
      BLEVINAL | 
           à
      RIVIERE-PILOTE ( Martinique) le 15 mars 1888 | 
            | 
           cultivateur célibataire  | 
            | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 02/06/1918   | 
           le 1er   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          François PARENT
                | 
           à HERMIES (Pas de Calais) le 3 novembre 1877   | 
            | 
          célibataire   | 
            | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 04/06/1918   | 
           le 3   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Henri MASSIOT     | 
          
      à PORT Ste FOY (Dordogne) le 21 mai 1888   | 
            | 
           tonnelier   | 
            | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 05/06/1918   | 
           le 4 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
           Henri
      Pierre Marie Eugène RIMOND (REMOND)
        | 
          
       BROONS (Côte du Nord) le 29 avril 1892 | 
            | 
          célibataire   | 
            | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 10/06/1918  | 
           le 8   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Marius CONSTANTIN
   | 
           à GROS-CHASTANG (Corrèze) le 31 octobre 1885   | 
            | 
          maçon   | 
            | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 15/06/1918  | 
           le 14 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Joseph NADAUD    | 
          
      à MANSAT le 22 mars 1895  | 
            | 
           cultivateur célibataire | 
            | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 18/06/1918   | 
           le 17   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Marcel André
      DAMARZIT     | 
           à SOUILLAC (Lot) le 11 août 1890   | 
            | 
          célibataire   | 
            | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 20/06/1918   | 
           le 19   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Antoine CHAZELON
                | 
           à St PAUL (Gironde) le 24 avril 1896   | 
            | 
           quincaillier   | 
            | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 30/06/1918   | 
           le 29 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
           Jean Baptiste
      Louis MARTINIER    | 
           à MARIGNE (Maine et Loire) le 7 novembre 1894 | 
            | 
          
      cultivateur célibataire | 
            | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 01/07/1918   | 
           le 30/6 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Edouard VIALLE     | 
          
      à VEGENNES (Corrèze) le 9 décembre 1897   | 
            | 
           cultivateur célibataire   | 
            | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 10/07/1918   | 
          
      le 9   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Emile BOULAY     | 
          
      à PARIS le 6 février 1879   | 
            | 
          ajusteur   | 
            | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 11/07/1918   | 
          
      le 10 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Jean
      Baptiste Maurice DEGAGE    | 
          
      à NEUILLY en DUN (Cher) le 26 janvier 1874 | 
            | 
            | 
            | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 12/07/1918   | 
           le 11   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Pierre FOUGEROLAS
                | 
           à TEMPLE-LAGUYON (Dordogne) le 14 août 1877    | 
            | 
           cultivateur   | 
            | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 15/07/1918   | 
           le 13   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Maxime Alexandre
      VIALETTE     | 
           à St MEDARD le 2 décembre 1884   | 
            | 
            | 
            | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 17/07/1918   | 
          le 16 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
           Fernand Henri GRAIN  
           | 
           à St QUENTIN (Aisne) le 31 juillet 1876 | 
            | 
            | 
            | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 17/07/1918   | 
           le 16 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
           Joseph Marie JUBERAY
      dit le Bozec   | 
           à St CARADEC-TREGOMEL (Morbihan) le 29 janvier 1894 | 
            | 
           cultivateur célibataire | 
            | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 26/07/1918  | 
          
      le 25   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Georges LEMERLE
                | 
           à HERMONVILLE (Marne) le 17 mai 1884   | 
            | 
            | 
            | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 26/07/1918  | 
          le 25 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Albert
      Georges Cornil CAMERLYNCK    | 
          
      à STEENVOORDE (Nord) le 25 juillet 1897 | 
            | 
           cordonnier célibataire | 
            | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 02/08/1918 
        | 
          le
            1er | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Camille DUPUY
      (DUPREZ)   | 
          
      à WORMHOUT (Nord) le 30 janvier 1897 | 
            | 
          célibataire   | 
            | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 04/08/1918 
        | 
           le 3   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Jean Louis Eugène
      BATTAREL     | 
           à MARMANDE (Lot et Garonne) le 6 septembre 1877   | 
            | 
          
      pharmacien   | 
            | 
           Mort
      pour la France | 
            | 
         
        
          | 08/08/1918 
        | 
           le 7 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Léonard DAUREL
            (DAUREIL)
        | 
           à BOISSEUIL (Haute-Vienne) le 25 octobre 1897 | 
            | 
          cultivateur | 
            | 
           Mort
      pour la France | 
            | 
         
        
          | 13/08/1918 
       | 
           le 12 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Eugène Prudent
      TRAVERS 
              
       | 
           à St MARTIN de NIGELLES (Eure et Loire) le 19 décembre
      1882 | 
            | 
          cultivateur | 
            | 
            | 
            | 
         
        
          | 22/08/1918 
       | 
           le 21
       | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
           Eugène Jean LANNEGRAND
       | 
           à ARJUZANX (Landes) le 11 janvier 1896
       | 
            | 
          célibataire   | 
            | 
           Mort
      pour la France | 
            | 
         
        
          | 25/08/1918 
       | 
           le 24   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Philippe DUSSAT
                | 
           à PERIGUEUX le 7 novembre 1880    | 
            | 
           plombier   | 
            | 
           Mort
      pour la France | 
            | 
         
        
          | 28/08/1918 
       | 
           le 27   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Marcel DESMAZURE
                | 
           à EPERNAY (Marne) le 3 mars 1891   | 
            | 
          célibataire   | 
            | 
           Mort
      pour la France | 
            | 
         
       
 
 
 
 
        
           
                      III) Pendant
      "la période mixte civile et militaire" de septembre 1918 au 20
      juin 1919.
               | 
         
       
 
 
        
          | Déclaration
            de +  | 
          Date du +  | 
          Lieu du + | 
          Prénoms
            et Nom | 
          naissance | 
          Grade
            régiment | 
            | 
          Cause
            + | 
            | 
          Remarques | 
         
        
          | Ils sont
      inhumés dans le carré militaire du cimetière de Sainte-Feyre.  | 
         
        
          |  11/09/1918   | 
          
      le 10 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38
           | 
          Auguste LAPIE  | 
          né à AUBAS
      (Dordogne) le 12 janvier 1879    | 
            | 
           cultivateur  | 
            | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 14/09/1918   | 
           le 13 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38
           | 
          Léonard CHAPOUTAUD
             | 
           à NEUVIC (Haute-Vienne) le 31 mars 1879  | 
            | 
           cordonnier | 
            | 
           Mort pour la
      France   | 
            | 
         
        
          | 17/09/1918   | 
           le 16 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38
           | 
          Louis CHESNEAU
             | 
           à PARIS 11e le 13 août 1893    | 
            | 
           célibataire  | 
            | 
           Mort pour la France    | 
            | 
         
        
          | 24/09/1918   | 
           le 23   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38
           | 
          Léon
      Auguste TILLARD
           | 
           à ORGEVAL le 9 juillet 1877    | 
            | 
           cultivateur   | 
            | 
           Mort pour la France    | 
            | 
         
        
          | 25/09/1918   | 
           le 24 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38
           | 
          Charles MUYLLE
   | 
           à ROUBAIX le 18 novembre 1884  | 
            | 
          camionneur | 
          maladie contractée en
            service   | 
            | 
            | 
         
        
          | 27/09/1918   | 
           le 26 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38
           | 
          Marie François
      FAVRE | 
           à SYON (Haute Savoie) le 27 août 1881  | 
            | 
           célibataire  | 
            | 
           Mort pour la
      France   | 
            | 
         
        
          | 02/10/1918  | 
           le 1er | 
           Hôpital sanitaire N°
            38
           | 
          René LOUVET  | 
          
      à St JUST des MARAIS (Oise) le 23 août 1887 | 
            | 
            | 
          maladie contractée en
            service | 
            | 
            | 
         
        
          | 13/10/1918  | 
           le 12 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38
           | 
          Jules FAUGERAS
             | 
           à TREIGNAC (Corrèze) le 23 avril 1882 | 
            | 
            | 
            | 
           Mort pour la France    | 
            | 
         
        
          | 20/10/1918  | 
           le 19   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38
           | 
          François DERUFFE
       | 
           à PARIS le 1er mai 1874,   | 
           au
            6ème Génie | 
           mécanicien    | 
            | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 25/10/1918   | 
           le 24   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38
           | 
          Jean
      Auguste MOTTIN   | 
          
      à MARSEILLE le 24 novembre 1893    | 
            | 
           tourneur, célibataire   | 
            | 
           Mort pour la
      France   | 
            | 
         
        
          | 17/11/1918   | 
           le 16   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38
           | 
          Jules Alphonse Victor
      COUBE   | 
           à CARNIN (Pas de Calais) le 22 février 1876   | 
            | 
            | 
            | 
           Mort pour la France    | 
            | 
         
        
          | 17/11/1918   | 
           le 16   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38
           | 
          Emile Pierre BANLIN
   | 
           à COGNAC le 24 mai 1887   | 
            | 
            | 
            | 
           Mort pour la France    | 
            | 
         
        
          | 18/11/1918   | 
          
      le 17 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38
           | 
          Jean ROBY 
           | 
           à
      BRIVE le 12 août 1888 | 
            | 
           célibataire | 
            | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 26/11/1918   | 
           le 25 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38
           | 
          Gaston DANIET
             | 
           à St SYMPHORIEN (Charente) le 8 janvier 1883  | 
            | 
           cultivateur  | 
            | 
           Mort pour la
      France   | 
            | 
         
        
          | 26/11/1918   | 
           le 25 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38
           | 
          Eugène CHAMARD
             | 
           à VOIRONS (Isère ) le 5 novembre 1886,  | 
            | 
           célibataire  | 
            | 
           Mort pour la France    | 
            | 
         
        
          | 27/11/1918   | 
           le 26 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38
           | 
          Léonard MERAUD
           | 
           à LIMOGES le 7 septembre 1875  | 
            | 
          sculpteur | 
            | 
          certainement
            civil | 
            | 
         
        
          | 27/11/1918  | 
          le
            26 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38
           | 
          Guillaume CRASTIGNAC
             | 
           à AGDE (Hérault ) le 28 juin 1885 | 
            | 
            | 
            | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 30/11/1918  | 
          le
            29 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38
           | 
          Jules DEROULETTE
       | 
           à CHALLIGNAC (Charente) le 5 janvier 1872  | 
            | 
           charpentier demeurant à
      VILLARD (Charente)  | 
            | 
          certainement
            civil | 
            | 
         
        
          | 04/12/1918   | 
           le 3 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38
           | 
          Edouard MAZABRAUD
           | 
           à BUSSIERE-POITEVINE le 23 septembre 1885 
        | 
            | 
           professeur,
            célibataire | 
            | 
           Mort pour la France    | 
            | 
         
        
          | 07/12/1918   | 
           le 6 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38
           | 
          Oscar Raymond
      DEVARDON  | 
           à CAHAN (Orne) le 3 janvier 1878  | 
            | 
           cultivateur
      célibataire | 
            | 
           Mort pour la France    | 
            | 
         
        
          | 11/12/1918   | 
           le 10 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38
           | 
          François Marie ROSSI
           | 
           à OMESSA (Corse) le 1er février 1898  | 
            | 
           célibataire | 
            | 
           Mort pour la France   | 
            | 
         
        
          | 11/12/1918   | 
           le 10 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38
           | 
          Eugène Victor Léon
      GABORET (GABORIT) | 
           à CHOLET (Maine et Loire) le 18 novembre 1876  | 
            | 
           receveur  | 
            | 
           Mort pour la
      France   | 
            | 
         
        
          | 14/12/1918  | 
           le 12 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38
           | 
          Gilbert Maurice BAYLE
             | 
           à St CHABRAIS le 20 février 1888  | 
            | 
           instituteur  | 
            | 
           Mort pour la France    | 
            | 
         
        
          | 17/12/1918  | 
            | 
           Hôpital sanitaire N°
            38
           | 
          Théotien Jean MARTY
             | 
           à CELLES-VITARIEUX (Dordogne) le 5 novembre 1898  | 
            | 
           célibataire
      demeurant à St AMAND de COLY | 
            | 
           Mort pour la France    | 
            | 
         
        
          | 26/12/1918  | 
           le 24 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38
           | 
          François Louis CHOUBRA | 
           à BORDEAUX le 23 janvier 1894    | 
            | 
           journalier célibataire | 
            | 
           Mort pour la France    | 
            | 
         
        
          | 31/12/1918 
           | 
            | 
           Hôpital sanitaire N°
            38
           | 
          
      René Emile Georges SCHWEITZER
        | 
           à PARIS 12e le 30 septembre 1897 
           | 
            | 
           célibataire
           | 
            | 
           Mort pour la France    | 
            | 
         
       
 
 
        
          | Déclaration
            de +  | 
          Date du +  | 
          Lieu du + | 
          Prénoms
            et Nom | 
          naissance | 
          Grade
            régiment | 
            | 
          Cause
            + | 
            | 
          Remarques | 
         
        
          | Ils sont
      inhumés dans le carré militaire du cimetière de Sainte-Feyre.  | 
         
        
          |  04/01/1919   | 
           le 3 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Félix FAFOURNOUX  | 
           à St REMY
            /
      Durolle ( Puy de Dôme ) le 27 mai 1893 | 
            | 
           ajusteur
            célibataire | 
            | 
           Mort pour
      la France | 
            | 
         
        
          | 09/01/1919   | 
           le 8   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Pierre Marie FAVENNEC
  | 
           à PLEYBEN (Finistère) le 6 novembre 1889   | 
            | 
          célibataire   | 
            | 
           Mort pour
      la France | 
            | 
         
        
          | 19/01/1919     | 
          le
            18   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Charles HENNEQUIN
   | 
           à IVRY le 22 janvier 1897   | 
            | 
          célibataire   | 
            | 
           Mort pour
      la France | 
            | 
         
        
          | 29/01/1919   | 
           le 28   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Clotaire
      Saturnin HAROLD (HAROL) | 
           à TROIS-RIVIERES (Guadeloupe) le 6 avril 1890 | 
            | 
          célibataire | 
            | 
           Mort pour
      la France | 
            | 
         
        
          | 03/02/1919     | 
            | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Léonide CHESSON
   | 
           à NONAC (Charente)   | 
            | 
           célibataire   | 
            | 
           Mort pour
      la France | 
            | 
         
        
          | 05/02/1919     | 
           le 4   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Georges Robert
      ANGIBAULT   | 
           à MOISY (Loir et Cher) le 8 août 1897   | 
            | 
          célibataire   | 
            | 
           Mort pour
      la France | 
            | 
         
        
          | 11/02/1919     | 
           le 10   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Isidore STEVENIN
                | 
           à GENSPUNSART (Ardennes ) le 20 mai
            1888   | 
            | 
            | 
            | 
           Mort pour
      la France | 
            | 
         
        
          | 12/02/1919     | 
           le 11   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Joseph PUJO   | 
          
      à GAJAX et BACCARISSE (Gers) le 23 mars 1896   | 
            | 
           célibataire demeurant à
      LUGAGNAN   | 
            | 
           Mort pour
      la France | 
            | 
         
        
          | 13/02/1919   | 
           le 12   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Antoine SKALA 
           | 
           à SMICHOV (Bohême) le 16 octobre 1899   | 
            | 
           cordonnier célibataire   | 
            | 
           Mort pour
      la France | 
            | 
         
        
          | 14/02/1919     | 
           le 13   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Joseph ROUX     | 
          
      à MAGNAC-BOURG (Haute-Vienne) le 26 mars 1892   | 
            | 
           célibataire   | 
            | 
           Mort pour
      la France | 
            | 
         
        
          | 14/02/1919     | 
           le 13   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          François PETIGNAUD
   | 
           à EYMOUTIERS (Haute-Vienne)   | 
            | 
           cultivateur célibataire   | 
            | 
           Mort pour
      la France | 
            | 
         
        
          | 15/02/1919 
            d | 
           le 14  | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          François REBEYRAT 
           | 
           à BELLAC (Haute-Vienne) le 25 septembre 1885   | 
            | 
            | 
            | 
           Mort pour
      la France | 
            | 
         
        
          | 17/02/1919   | 
           le 16   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Gaston
      Jean Albert BLANC | 
          
      à YVRY le 7 juin 1886    | 
            | 
           menuisier célibataire   | 
            | 
           Mort pour
      la France | 
            | 
         
        
          | 20/02/1919   | 
          le 19  | 
          Sanatorium | 
          Guillaume Mathieu
      REBY   | 
           à SAVENNES le 7 septembre 1857  | 
            | 
           journalier  | 
            | 
            | 
          Il doit
            être ""domicilié" au sanatorium. 
            c'est un employé et non un malade. | 
         
        
          |   | 
           Divorcé en 1e
      noces de Madeleine FOURNERY 
      Son père est Pierre REBY (†). sa mère est Marie GARDIVAUD (†).
      Sa conjointe fut Marie Hortense BAYON. 
 Témoins: Armand
      DEVOIZE (71 ans comptable) et Jacques PRUCHON (49 ans chauffeur).
  | 
         
        
          | 21/02/1919     | 
           le 20   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Henri François
      VALENCE   | 
           à FORCELLES sous CUGNEY (Meurthe et Moselle)   | 
            | 
           célibataire   | 
            | 
           Mort pour
      la France | 
            | 
         
        
          | 22/02/1919   | 
           le 21   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Louis
      CHANY | 
           à
      DESGES (Haute-Loire) le 20 juillet 1898 | 
            | 
           cultivateur | 
            | 
           Mort pour la France  | 
            | 
         
        
          | 25/02/1919   | 
           le 24  | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
           Félicien JUGLIN 
           | 
           à PONTEUX les FORGES (Landes) le 6 février
            1890  | 
            | 
           résinier célibataire  | 
            | 
           Mort pour la France  | 
            | 
         
        
          | 03/03/1919     | 
           le
      2   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Louis Bénoui NAZE
   | 
           à TORCY (Seine et Oise) le 23 septembre 1879   | 
            | 
          cordonnier   | 
          maladie contractée en
            service   | 
            | 
            | 
         
        
          | 07/03/1919   | 
           le 6   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Pierre Paul DUCHESNE
   | 
           à St PANTALEON (Saône et Loire ) le 29 juin
            1885   | 
            | 
            | 
          maladie contractée en
            service   | 
            | 
            | 
         
        
          | 09/03/1919     | 
           le 8   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Joseph JACQUET   | 
          
      à St CLEMENT ( Meurthe et Moselle) le 4 juin 1890   | 
            | 
           célibataire    | 
            | 
           Mort
      pour la France    | 
            | 
         
        
          | 12/03/1919   | 
           le 11  | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Gaston
      CAVILLA (CAVILLON) | 
           à AMIENS (Somme ) le 9 novembre 1894 | 
            | 
          briquetier | 
          
      maladie contractée en service  | 
            | 
            | 
         
        
          | 17/03/1919   | 
           le 16  | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          René PROUX  | 
          
      à MERRY-SIC (Yonne) le 27 janvier 1895  | 
            | 
           célibataire  | 
            | 
           Mort pour la
      France  | 
            | 
         
        
          | 22/03/1919     | 
           le 21   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Jean Baptiste PETITOT
   | 
           à St MARTIN-CHATEAU le 10 janvier 1888   | 
            | 
            | 
            | 
           Mort pour la
      France  | 
            | 
         
        
          | 11/04/1919     | 
           le 10   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
           Jean LEONARD
      (Léonard JEAN)     | 
          
      à St YBARD (Corrèze) le 28 février 1875   | 
            | 
           célibataire   | 
            | 
           Mort pour la
      France  | 
            | 
         
        
          | 14/04/1919   | 
            | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
           Gustave RIBEYRE 
           | 
           BORDEAUX le 21 novembre 1888  | 
            | 
           cultivateur  | 
            | 
           Mort pour la
      France  | 
            | 
         
        
          | 20/04/1919     | 
           le 19   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Paul HARMANT   | 
          
      à PEXONNE (Meurthe et Moselle) le 25 juillet 1894   | 
            | 
           cordonnier célibataire   | 
            | 
           Mort pour la
      France  | 
            | 
         
        
          | 21/04/1919     | 
           le 20   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
            André Louis VALADE
   | 
           à ARGENTEUIL le 20 mai 1899   | 
            | 
           célibataire   | 
            | 
           Mort pour la
      France  | 
            | 
         
        
          | 22/04/1919     | 
           le 21   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Joseph Frédéric
      FONTAINE   | 
           CUSSAC (Dordogne) le 29 août 1896   | 
            | 
           cultivateur célibataire   | 
            | 
           Mort pour la
      France  | 
            | 
         
        
          | 01/05/1919   | 
           le 30/4 | 
           Hôpital sanitaire N°
            38  | 
          Gabriel
      CHASTAGNOL | 
          
      à La NOUAILLE le 12 juin 1897  | 
            | 
           cultivateur ,
            célibataire  | 
            | 
           Mort pour la
      France  | 
            | 
         
        
          | 20/05/1919   | 
          
      le 18   | 
           Hôpital sanitaire N°
            38 | 
          Paul Stanislas PERAUD
           | 
           à MONTOIRE sur le LOIR le 9 décembre 1863  | 
            | 
           receveur
            buraliste | 
            | 
            | 
          sans doute
      "civil"   | 
         
        
          |   | 
          ce décès est le dernier
            décès avec pour témoins des militaires: Charles CARPENTIER, sergent infirmier et Marcelin
      CALIS, infirmier.   | 
            | 
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      Les deux premiers décès "civils" sont le 2 juillet 1919,
      le décès de mademoiselle  Louise Hygonnet.
      
      l'appellation "sanatorium" renaît et les témoins sont des
      civils (Jules NICOLAS, cocher et Jean CHEVALIER, économe).  
                                                       
      et le 6 septembre 1919, décès de  René Roger Charles
      LACROIX  (né à MONTCRABIER (Lot ) le 30 avril 1901 élève de l'école
      normale). | 
         
        
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        Le 20
      juin 1919, l'établissement "est rendu à la vie civile"
      en totalité et voit le retour du Docteur Berthelon. 
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      André Honnorat 
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    Le
      7 septembre 1919, la "loi Honnorat" instituant les
      sanatoriums est votée. (du nom d'André HONNORAT, directeur de
      différents cabinets de ministres de la 3ème République,
      député des Basses-Alpes en 1910, très impliqué par l'hygiène, la
      tuberculose sur les militaires) 
      Elle oblige chaque département à édifier un sanatorium public ou à
      passer un accord avec un autre département. Cette
      loi interdisait la mixité et les établissements ne pouvait prétendre à
      des subventions accordées par l'état qu'en l'appliquant. En
      fait, à Ste-Feyre, le pavillon des Dames est nettement distinct de celui
      des hommes et permet ainsi de s'adapter à la loi.  
      La séparation des sexes sera observée en toute occasion, même pour les
      séances récréatives. Par exemple, il y a cinéma un jour pour les dames
      et le lendemain pour les messieurs. 
      Les hommes et les femmes mangent dans la même salle mais à des tables
      différentes.  | 
      
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           Sur
            cette photographie sont indiqués de gauche à droite: 
                   - Conciergerie 
                   - Maison du directeur et de
            l'économe 
                   - Cure d'air 
                   - Messieurs 
                   - Dames 
                   - Cure d'air 
                   - Usine | 
         
        
            | 
          "Cherchez
            ma chambre ...  la 1ère au 1er étage pavillon des dames. -
            Remarquez aussi les cures d'air à chaque extrémité: 3 galeries
            ouvertes superposées. Je suis à la cure du bas à droite, ma
            chaise longue est entre le 1er et le 2ème pilier ... 
            La ferme dépend aussi du Sana.  
            C'est immense et très bien organisé.  
            Toute l'étendue derrière le Sana lui appartient. Le terrain est
            vaste." | 
         
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    Les
      instituteurs français sont très proches de "leur Sana" comme
      le prouve ce "Bal de l'Enseignement au profit du Sanatorium de
      Sainte-Feyre" organisé par les instituteurs et les institutrices
      d'Indre et Loire lors d'une fête corporative du 7 juin 1924.. | 
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      1925: arrivée du docteur Giaccardo Louis (futur
      directeur en tant qu'adjoint au sanatorium de Sainte Feyre. Il le demeurera
      jusqu'en 1932). 
         
      
      1926: Mr LAPIE
      directeur de l'Enseignement Primaire constate que la
      recrudescence de la tuberculose du fait de la Guerre et l'augmentation
      importante des membres de l'Union (90 sociétés mutuelles affiliées avec
      71 000 membres.) rendent obligatoire un
      agrandissement de l'établissement.  
      Il est de nouveau fait appel à la
      souscription volontaire et au zèle de M Leune ( 1.625.000 francs sont recueillis) et alors,
       "l'aile-est", en briques
      apparentes,  est construite. Cette aile comprends 60 chambres avec 73 lits.
      La construction est dirigée par les architectes Louis et Georges Marnez. 
 Son inauguration a lieu le 13 novembre 1927 par Mr Rosset
      directeur de l'Enseignement Primaire.
       
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    La
      revue hebdomadaire
      d'architecture "la
      construction moderne"  du 25 novembre 1928 avec un article
      sur la nouvelle aile du sanatorium 
                                                                                                                                                      
      dont vous trouverez les pages ici:  | 
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      Le même article paru dans la revue "le Béton Armé" en
      1930  | 
   
  
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    C'est
      à cette époque que le Docteur Garnier  arrive comme
      médecin-adjoint (interne). Il dirigera l'établissement de 1944 à 1967. | 
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      1928:  Dès la création de l'établissement, les
      enseignants pensionnaires du sana, estiment comme un droit naturel de
      participer à l'organisation de la vie: confort, nourriture, discipline
      etc... ceci aboutit à la désignation "d'un délégué des
      malades".
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         Le
      17 avril 1930: L'assemblée Générale de l'Union des
      Sociétés de Secours Mutuels décide que désormais l'établissement est baptisé
       "Sanatorium Alfred Leune". A Leune décède le 9 décembre
      1930. 
       
      A cette époque la législation supprime totalement
      toute possibilité de mixité.  
      L'Union de Secours Mutuels, alors présidée par Mr Léaud, achète alors,
      le 29 janvier 1932, la clinique Sylvabelle qui devient le
      Sanarorium de Saint-Jean-d'Aulph en Haute-Savoie (Saint-Jean-d'Aulps
      depuis 1961) où seront envoyés et hébergés les femmes, tandis que
      Sainte-Feyre deviendra exclusivement masculin. 
       
       L'établissement de Ste
      Feyre sera toujours dirigé par le  docteur Berthelon, assisté des
      
      docteurs Edouard  Delbecq et Armand Garnier,  
                       
      A partir de 1933, celui de St Jean d'Aulph est dirigé par le  docteur Louis Giaccardo
      (médecin monégasque). 
       
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    A
      partir de 1936, diverses techniques chirurgicales font leur
      apparition dans le traitement de la tuberculose: thoracoplastie,
      phrénisectomie, pneumothorax. 
      Le 27 septembre 1936, il est inauguré un pavillon
      chirurgical à Ste-Feyre.L'introduction
      de la chirurgie pulmonaire au "sana" de Sainte-Feyre est faite par
       le
      docteur Pierre Dreyfus-le Foyer, élève du professeur Maurer de
      Paris, sommité
      médicale, chirurgien à l'hôpital Laennec de Paris.  
 Le docteur Dreyfus-le-Foyer, vient réaliser ses
      actes chirurgicaux régulièrement par séances de plusieurs jours à
      Ste-Feyre. 
 Les
      malades femmes de St Jean d'Aulph, susceptibles d'être opérées, sont
      transférées à Ste-Feyre.  
       
      En 1939,
      les nouvelles techniques nécessitent la création d'un service
      chirurgical de 5 chambres qui sont aménagés dans les galeries de cure du
      premier étage ouest. 
      La partie chirurgie est aménagée au dessus au 2ème étage 
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    Dct Dreyfus-le Foyer.
      (le champion du
      pneumothorax extra-pleural et des thoracoplasties d’affaissement ) | 
   
 
  
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          Le docteur
            Pierre Dreyfus-le-Foyer: 
            Chirurgien pneumo-phtisiologue de l'hôpital Laennec, où il
            acquiert une grande réputation, notamment dans le domaine du
            pneumothorax extra-pleural. 
            Une fois par mois à partir de 1936, il accepte de faire des
            vacations à Sainte-Feyre. Il contribue à la naissance de ce que
            certains appellent "l'école de Sainte-Feyre". 
            Il va une fois tous les trois mois également à Saint-Jean d'Aulps. 
            Pendant la guerre, pour ses origines juives, le docteur
            Dreyfus-le-Foyer est emprisonné dans un camp à Rennes. Plusieurs
            demandes de libération présentée par les administrateurs de
            l'Union  restent vaines. 
            Après sa libération, il se fait appeler le-Foyer. Il est mobilisé
            et affecté dans les hôpitaux militaires. 
            A la libération il revient exercer à Sainte-Feyre et ce jusqu'à
            sa mort en 1953.
            Il est l'auteur
            et le co auteur de nombreux ouvrages:   
                   ""Le
            Traitement chirurgical des perforations pleuro-pulmonaires au cours
            du pneumothorax artificiel et de l'oléothorax"
            Pierre Dreyfus-Le Foyer / Paris : L. Arnette , 1933  
                   "Les thoracoplasties itératives"
            Pierre Dreyfus-Le Foyer / Paris : Masson , 1935 
                   "Schémas d'anatomie du
            cours d'anatomie médico-chirurgicale du professeur R. Proust T.2,
            membre supérieur" Pierre Aboulker ,Louis Barraya, avec la
            collaboration de MM. Benoit, 
                                   
            Dreyfus-Le Foyer et Rousseau ; Robert Proust / Paris : Vigné ,
            1936  
                   "Les "cas
            limites" du traitement chirurgical de la tuberculose pulmonaire"
            par D. Le Foyer et E. Delbecq ; avec la collaboration du dr. García-Bengochea
            ; G. Doin et cie. , 1941  
                   "Pneumothorax
            extra-pleural et collapsus équilibré" par D. Le Foyer et
            E. Delbecq / Paris : G. Doin & cie , 1943  
                   "Traité du
            pneumothorax extra-pleural"  P. Le Foyer et E. Delbecq
            ; avec la collaboration de M. Bertheau [et al] / Paris : Doin , 1950  | 
         
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       1940: La
      "Deuxième Guerre Mondiale", la crainte de bombardements
      italiens en Savoie font provisoirement fermer le sanatorium de Saint-Jean
      d'Aulps et revenir les malades féminins qui ne peuvent retourner dans
      leur famille (33 personnes) et le personnel
      soignant en Creuse (notamment le docteur Louis Giaccardo). L'Italie a
      déclaré la guerre à la France le 10 juin 1940. (il est a noter que ces
      mêmes italiens sont certainement les auteurs des bombardements de Guéret
      et de sa région en juin 1940.)
       St-Jean est
      réquisitionné par les services de santé de Lyon. 
      L'effectif maximal est
      porté à 270 lits dont 32 réservés aux  
      Le 1er
      mai 1940, le Docteur Berthelon part s'installer à
      Lozanne - Rhône et est remplacé par le docteur Louis Giaccardo. 
      Avant le 2 novembre
      1940, date d'une demande de libération du conseil
      d'administration de l'UNSSMI, le docteur Dreyfus-le-Foyer
      est interné à Rennes. 
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          | Le docteur
            Louis Giaccardo:
             Médecin
            phtisiologue, il est adjoint au sanatorium de Sainte-Feyre de 1925
            à 1932, date à laquelle il part diriger le sanatorium d'Arnières. 
            En 1933, il est nommé à la direction de Saint-Jean d'Aulps. 
            de 1940 à 1942, il revient à Sainte-Feyre. 
            Il restera directeur de Saint-Jean d'Aulps de 1943 à 1959, date de
            sa retraite. 
            Son épouse, institutrice dirige l'aérium de Blancheneige de 1949
            à 1954. 
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    La
      désignation du docteur Giccardo est contesté par le docteur
      Delbecq. Cette nomination est jugée irrégulière par le secrétaire
      d'Etat à la Santé publique par l'absence de l'agrément minestériel
      prévu par le décret du 15 avril 1938.
       En 1941,
      pendant le conflit pour la direction du sanatorium entre les docteurs
      Giaccardo et Delbecq, la direction intérimaire est confié au docteur
      Garnier jusqu'à l'arrivée du docteur Marmet. 
      En octobre 1942, le
      Docteur Giaccardo repart pour St-Jean-d'Aulps qui vient
      d'être restituer par les services de santé de Lyon et l'établissement de Ste-Feyre, après son départ, est dirigé par le
      Docteur MARMET, avec le Docteur Garnier comme
      adjoint. 
      Les travaux de remise en état de St-Jean-d'Aulps sont importants et les
      portes ne rouvriront que le 20 août 1943 pour accueillir les femmes.  | 
   
  
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          | Monsieur le
            docteur Marmet:
             Médecin
            phtisiologue, ancien interne des hôpitaux de Lyon, ancien assistant
            du sanatorium interdépartemental du Rhône à Saint-Hilaire du
            Touvet. 
            Il est recruté par l'UNSSMI pour diriger le sanatorium de
            Sainte-Feyre en octobre 1942. 
            Assisté par Armand Garnier, il partage son temps entre ses
            activités médicales et la résistance. 
            Après ses
            activités militaires il obtient un poste au sanatorium de Colmar le
            21 octobre 1945.  | 
         
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       Pendant cette guerre, les Maquis
      s'organisent, la résistance est importante en Creuse et le nouveau
      Médecin-directeur (1940-1944), le Docteur MARMET, participe activement à
      cette dernière.  
      L'établissement avait échappé à la réquisition en 1939 mais a du
      mettre un étage à la disposition des F.F.I. pour les malades passibles
      d'opérations chirurgicales. 
      Un "centre clandestin" de soins et de
      ravitaillement pour les Résistants creusois est installé au Sana. Les
      Docteurs Marmet, Garnier et leur équipe vont cacher dans l'établissement des médecins juifs,
      hospitaliser des maquisards malades et opérer les blessés.  
      En même temps que centre
      de soins aux maquisards, le sanatorium devient  un haut lieu de la
      résistance. Eugène France y avait ses "grandes et petites
      entrées".  
      Bien des résistants sont mis à Ste-Feyre à l'abri de l'occupant qui
      craignait le voisinage des tuberculeux.
       Les malades manifestent
      leur volonté de participer en reversant le fruit de collectes aux
      résistants et en faisant circuler des tracts édités par les maquis.
         
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     En
      septembre 1944: le
       Docteur
      GARNIER succède au  Docteur MARMET  (parti
      rejoindre les FFI) en tant que Médecin-directeur. Le
      docteur Garnier était arrivé en 1926 à Ste Feyre en qualité d'interne,
      il dirigera le sanatorium jusqu'en 1967.
       En fait, les absences
      nombreuses du docteur Marmet, donnaient déjà depuis quelques temps les
      fonctions de directeur au docteur Garnier. 
      A la fin des hostilités,
      le sana est en piteux état: manque d'eau, plus de chauffage... 
      Les réparations sont telles que les disponibilités financières de
      l'Union ne sont pas en état de les supporter. 
      D'autre part, l'affluence des malades est telle qu'il faut attendre
      quelque fois un ou deux mois pour pouvoir être admis. Un nouvel
      agrandissement est à envisager. De
      1946 à 1954, le docteur Guy JAMET est médecin adjoint à
      Sainte-Feyre. Il y avait été interne de 1943 à 1946. (il terminera sa
      carrière en tant que médecin directeur du sanatorium de Saint-Jean d'Aulps,
      de 1960 à 1985.)  | 
   
 
  
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    C'est,
      le 8
      décembre 1946 la création de
      la M.G.E.N. (Mutuelle Générale de l'Éducation Nationale). Elle prend en
      charge les sanatoriums des enseignants. 
      L'union des Sociétés de Secours Mutuels est une des premières à
      accepter sa fusion avec les autres sociétés mutualistes de
      l'Enseignement. Elle apporte en dot le Sanatorium de Sainte-Feyre avec sa
      renommée, son expérience, ses richesses mais aussi ses tares, ses
      exigences et ses servitudes. La M.G.E.N. l'accepte et d'emblée se met à l'œuvre: on commence à réparer et à moderniser. On recherche l'eau et
      on capte de nouvelles sources. On songe toujours à l'agrandissement. | 
   
 
  
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    On
      pense aussi améliorer la vie matérielle du personnel dont le nombre a
      sensiblement augmenté et qui est en majorité logé très
      inconfortablement dans des pièces du rez-de-chaussée, sommairement
      aménagées pendant la guerre 1914-1918.
       On construit le Pavillon
      du Personnel qui pendant une période accueillera également les accompagnants
      des pensionnaires. 
      Plus
      tard, ce pavillon du personnel sera baptisé "pavillon Jean Brenaut"
      en l'honneur de l'intendant universitaire Jean Brenaut, en poste à Ste
      Feyre depuis septembre 1931, qui surveilla son édification. 
      Le pavillon est inauguré le 11 juin 1950. Il permet la
      transformation du rez-de-chaussée en chambres et en service hospitalier.  
      A cette époque, on
      continue la réfection et l'aménagement moderne de toutes les chambres;
      les anciennes galeries de cure sont aménagées et incorporées dans les
      services administratifs et économiques. 
      Ces travaux, de 102
      malades, portent la capacité d'hospitalisation à 250 malades. 
      Les années 50 voient la création d'une radio
      privé : "radio BK" et d'un labo photo. 
      L'augmentation du nombre
      de malade rend obligatoire l'agrandissement de toutes les installations. 
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    En
      1953, la construction
      de la rotonde permet l'extension de la salle à manger. Avant cette
      extension l'exiguïté de la salle à manger obligeait 2 services.  
      Cette construction est toujours sous la surveillance
      de Jean Brenaut (architecte monsieur Astorg DPLG 
      Durant cette
      construction, le 9 septembre 1953, un incendie accidentel
      détruit entièrement la salle de spectacle qui est dessous. 
      Cette incident
      accélérera les études et la décision favorable à la construction d'un
      Bloc Médico-chirurgical qui était en projet depuis 1950. 
      Le 23 décembre
      1953, la Commission des investissements de la Creuse accepte
      l'agrandissement. 
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    Le
      2 novembre 1956, l'Intendant Jean Marie Brenaut décède, alors qu'il est toujours en
      fonction. (Il était né à Brest le 16 décembre 1904) 
 Messieurs Montgenot,
      Fouteau, Veron feront partis de ses successeurs.           
      
      
      1958: début de la
      construction de la nouvelle "aile-ouest". Elle sera inaugurée en
      janvier 1964. 
      Avec ce nouveau pavillon,
      le bâtiment se rallonge de 60 m. 
                      
      - au sous-sol, une salle de spectacle de 272 fauteuils. 
                      
      - au rez-de-chaussée, un auditorium, une bibliothèque, une salle de
      lecture et de jeux. 
                      
      - au 1er étage, les bureaux des médecins, des salles de
      radiologie, de radioscopie, un laboratoire, une pharmacie et une salle de
      relaxation et de rééducation fonctionnelle. 
                      
      _ au 2ème étage, une salle de d'opération avec une
      installation dernier cri pour la chirurgie thoracique et 10 chambres de
      réanimation.   | 
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    Le
      27 août 1967: après 40 années d'exercice médical au Sanatorium dont
      23 ans de direction, le Docteur Garnier prend sa retraite. (Né en
      1900, il décédera à Guéret en 1979)
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    Le
      Docteur Armand Garnier.
       surnommé "le Doga"
      par les malades. 
        
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          Né en 1900,
            médecin phtisiologue, il entre au sanatorium de Sainte-Feyre en
            décembre 1926 comme adjoint du docteur Berthelon, en remplacement
            du docteur Giaccardo malade. 
            En 1941, à la suite d'un conflit pour la direction de Sainte-Feyre
            entre les docteurs Giaccardo et Delbecq, la direction intérimaire
            lui est confiée jusqu'à l'arrivée du nouveau directeur, le
            docteur Marmet en 1942.  
            Pendant la guerre, Armand Garnier participe activement aux actions
            clandestines du directeur Marmet en soignant les maquisards blessés
            pendant la nuit. 
            Lorsque le docteur Marmet décide de rejoindre les FFI, en septembre
            1944 il reprend la direction de l'établissement qu'il n'avait en
            fait jamais quittée, étant donné les absences nombreuses du
            directeur en titre.
            A sa retraite en
            1967, il sera resté à Sainte-Feyre 41 ans dont 26 ans de
            direction.  | 
         
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         Dans les années
      60, les progrès en matière de lutte anti-tuberculeuse avec notamment la
      survenue de toute une série d'antibiotiques efficaces ont fait reculer la
      maladie et ont permis des traitements plus courts et à domicile. Le
      "sana" s'est vidé peu à peu de ses "tuberculeux". (
      41 % des lits sont vides ) Ce
      pose alors le problème de l'avenir de tous les sanatoriums dont celui de
      Sainte-Feyre. Le bureau national de la M.G.E.N. est très inquiet pour
      leur doyen de Sainte-Feyre: des difficultés financières dans les dernières
      années ont amené une négligence certaine dans les travaux d'entretien
      et le confort des chambres ne correspond plus aux exigences modernes.
      Devant l'importance des dépenses à envisager, un difficile dilemme se
      pose aux administrateurs:  moderniser ou abandonner et détruire...
            1 septembre
      1967: nomination
      d'un nouveau Médecin-directeur, le Docteur Maurice PETIT (1925 - 2009) à qui est
      confié la tâche de tenter de résoudre le problème.  
 Il est épaulé par 
      l'intendant Monsieur FERMONT.  
 De toute façon, le Sanatorium" a vécu
      en tant que tel, il doit être reconverti.  
 Le choix se porte vers les
      maladies dites "de civilisation": affections respiratoires et
      maladies cardio-vasculaires tout en conservant une activité chirurgicale
      thoracique de haut niveau.  
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        Le
      Docteur Maurice PETIT
         
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          A partir de 1944,
            débute ses études de médecine à la faculté de Toulouse, 
            9 juillet 1947, admissible aux concours de l'externat des hôpitaux
            de Toulouse, 
            interne au centre hospitalier de Colmar de 1948 à 1954, 
            docteur en Médecine de la Faculté de Strasbourg le 1er
            octobre 1954 et pneumo-phtisiologue des services publics en 1954, 
            médecin adjoint des sanatoria publics le 6 décembre 1954, 
            nommé en 1959 médecin inspecteur spécialisé en matière de
            pneumoconiose pour le Haut-Rhin, 
            médecin-chef du dispensaire antituberculeux de Guebwiller
            (Haut-Rhin) d'avril 1957 à octobre 1963, 
            fin 1963, placé en position de détachement auprès du ministre des
            Affaires algériennes pour être mis à la disposition du
            gouvernement algérien. 
            le 1er novembre 1963, pneumo-phtisiologue chef de service
            de l'Hôpital civil de Béni-Messous, Centre Hospitalier
            Universitaire d'Alger, 
            de 1964 à 1967, médecin chef de service au centre hospitalier
            régional d'Alger, puis, en novembre 1964, assistant de chirurgie
            thoracique et cardio-vasculaire de l'Hôpital Mustapha, au Centre Hospitalier
            Universitaire d'Alger, et ce jusqu'au 31 octobre 1967. | 
         
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       "Au
      Sanatorium de Sainte-Feyre, aménagé en 1950 par mon père,
      architecte des bâtiments communaux, il y avait un médecin-directeur
      étonnant, le docteur Garnier, qui galvanisait un
      peu Max Merlier par son flegme, ses connaissances pratiques et
      son adresse manuelle permettant l’action en situation précaire des
      installations sanitaires de l’époque.  
      En 1967, un nouveau médecin directeur est nommé, revenant d’Algérie.
      Pratiquant les thérapeutiques antibiotiques, le docteur Maurice Petit,
      contribua à l’extinction des ravages de la tuberculose et orienta la
      réussite d’un grand centre de réadaptation cardiorespiratoire. Il
      vient de décéder en juin 2009 ! Les témoins  de ces temps révolus
      deviennent rares !" 
      Pierre Vayre,  
      (Max Merlier (1921-2008), e-mémoires de l'Académie Nationale de
      Chirurgie, 2010, 9 (4) : 009-013) 
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     Le projet est agréé par la M.G.E.N sous la
      présidence de  Denis FORESTIER puis par le Ministère de la Santé et,
      après presque 60 ans de lutte contre le fléau de la Tuberculose, le
      "Vieux Sana" devient  le 1er juillet 1969 le "Centre Médico Chirurgical
      National Alfred Leune".
       l'établissement a une
      capacité d'accueil portée à 244 lits. Il accueille des pensionnaires
      hommes et femmes en chambres individuelles réparties sur 3
      services.  
                    
      - 112 lits en phtisiologie, dont 12 de post-cure, sont réservés aux
      tuberculeux. 
                    
      - 75 lits affectés à la pneumologie. 
                    
      - 47 lits de cardiologie. 
                    
      - 10 lits sont réservés à la chirurgie thoracique. 
                      
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     Des travaux d'importance sont
      entrepris: rénovation des immenses façades, des chambres, des couloirs,
      des cuisines; construction d'un réfectoire pour le personnel. 
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       En
      octobre 1970, débuts des travaux d'aménagement d'un plan d'eau
      situé dans une partie marécageuse du domaine de l'ancienne ferme. 
      Cet étang d'un hectare et demi offre une promenade reposante, des
      possibilités de pêche pour les pensionnaires et un  terrain de camping et de caravaning
      à la disposition des familles des pensionnaires. 
      Cet étang sera inauguré les 25 et 26 juin 1972. Il accueillera
      de nombreuses animations: fêtes, feux de la St-Jean, combats de catch...
        
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    En 1973,
      l'entrée principale est transférée dans le hall central, sous la
      rotonde, facade sud après
      l'aménagement d'une nouvelle route d'accès. Un escalier menant
      directement à la salle de spectacle est construit.
       Pour confirmer la
      reconversion du Sanatorium, le 28 octobre 1973, organise la
      première "Journée de Cardiologie" avec la participation de 140
      médecins et cardiologues français. Ce rendez-vous perdurera. 
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       L'équipe
      médicale s'enrichit avec, outre le médecin-directeur, trois
      pneumologues, deux cardiologues et de nombreux internes en médecine
      souvent étrangers qui porteront le savoir-faire médical creusois dans
      leurs pays d'origine.  
 Les travaux scientifiques se multiplient, assurant
      la notoriété de l'établissement autant en France qu'à l'étranger.  
      Un
      département pour les troubles psychosomatique est créé en 1975. 
      En 1975,
      Ste-Feyre prend la responsabilité des cinq dispensaires antituberculeux
      du département de la Creuse. 
      
      Création d'un service de rééducation et de réadaptation.  
 C'est à
      cette époque que sont abandonnés les derniers lits réservés
      exclusivement à la tuberculose.  
 Le Centre fonctionne à plein régime
      mais un problème subsiste pour la M.G.E.N.: la proportion, insuffisante
      à son gré de pensionnaires mutualistes.  
 On pense alors à un complément
      de reconversion pour y remédier et l'on décide de faire face à un
      nouveau problème de santé publique apparu au fil des ans: la vieillesse
      invalidée.  
 Un nouvel agrément est accordé pour la création d'un
      service de "long-séjour" réservé au seuls ressortissants de
      la M.G.E.N.  
 Cette nouvelle reconversion impose d'importants travaux avec,
      en premier lieu, la construction d'un nouveau bâtiment ( début des
      travaux en avril 1989 ) pour accueillir
      les bénéficiaires d'un "Long Séjour" (45 lits).  
      Dans ce même
      bâtiment sont déplacés tous les services médico-techniques et les
      bureaux des médecins.  
 L'établissement qui a pris le nom de "Centre
      Médico National Alfred Leune", présente l'originalité de
      présenter tous les niveaux d'hospitalisation: court, moyen et long
      séjour. L'inauguration de la dernière construction a lieu le  28 novembre
      1990 par le président de la M.G.E.N  Pierre Chevalier. 
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      31 décembre
      1990:
      départ à la retraite  du Docteur PETIT. Un changement important va suivre
      son départ: la M.G.E.N voulant aligner la situation de ses
      établissements médicaux, qui participent d'ailleurs au Service Public
      Hospitalier (S.P.H.), sur les établissements publics français
      d'hospitalisation, confie la direction à des administratifs non
      médecins. Le Docteur Petit fût le dernier médecin-directeur de
      l'établissement, il est remplacé par  Jacques VEISSE qui
      oeuvrait depuis 1983 dans l'établissement. Il est nommé directeur le 1er
      janvier 1991.
           A Jacques VEISSE
      revient la charge de moderniser à nouveau l'ensemble de la partie
      hôtelière du Centre ainsi que les chambres qui atteignent un confort
      digne d'un grand hôtel. Sur le plan médical, après l'abandon de la
      chirurgie est créé un service modèle de lutte contre le tabagisme. 
          René SOULIE
      succède à Jacques VEISSE appelé à d'autres responsabilités. Il ne
      restera que quelques années. 
          Jean-Maurice
      DUBOIS devra affronter les difficiles questions de collaboration médicale
      avec le Centre Hospitalier de Guéret. 
           Patrick COLO arrivé en
      2005 prend sa retraite en 2013. 
         Valéry
      JEDRZEWSDI lui succède fin 2013. 
                           
      Actuellement l'établissement, qui emploi 310 personnes, dispose  
                                              
      d'un service de pneumologie avec 34 lits de courts séjours et 58 lits de
      suite et de réadaptation. 
                                              
      d'un service de cardiologie de 73 lits. 
                                              
      d'un service de sevrage tabagique. 
                                              
      d'un plateau médico-technique. 
                                              
      d'un EHPAD de 45 lits. 
                                              
      d'un service de balnéothérapie. 
      Dans
      un nouveau bâtiment, un plateau technique de balnéothérapie est mis en
      service en octobre 2009 et inauguré le 4 février
      2010. Il sert à la rééducation cardiaque et à la
      réhabilitation respiratoire.                                            
      .                                                                                 
                                            
       
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      d'après - monsieur le Docteur Maurice PETIT.(+ 2005),  
                - monsieur le
      Docteur Max BRENAUT 
                - l'Historique
      édité par le centre 
                - "La Vie et
      l'Oeuvre d'Alfred Leune" hommage de 1930. 
                - "Soigner
      autrement ? La politique médico-sociale de la MGEN (1947-1991)" 
                         
      Extrait de la thèse de Charlotte SINEY-LANGE soutenue le 24
      janvier 2006. | 
   
      
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